Ginseng prouvé à prolonger la vie
chez les hommes:
Retour dans les années 1960 et
1970, le ginseng a fait fureur pour l'énergie et l'endurance, la prévention des
maladies et l'augmentation de la libido. D'une certaine manière il disparu de
l'ouest de sensibilisation à la santé naturelle et l'intérêt des consommateurs.
Mais l'histoire de la capacité de ginseng à inculquer l'énergie, l'endurance,
la libido et la longévité remonte il y a quatre ou cinq mille ans dans la
médecine chinoise. Maintenant, une nouvelle vague d'intérêt pour la recherche
ginseng peut re-dynamiser la sensibilisation du public de ginseng. Ginseng est
souvent étiqueté Panax ginseng à des essais et de tests, mais tout ce qui
indique le genre botanique Panax ginseng qui est une espèce. Et le genre Panax
appartient à la araliaceae de famille de plante. Selon la plupart des
botanistes, le ginseng de Sibérie est dans la même famille, mais pas de la même
Panax genre. Mais herboriste Chris Degussa estime qu'il est moins cher, ginseng
adaptogène complète (selon ses besoins) et une grande, naturelle performance
athlétique activateur que beaucoup des coureurs professionnels dans
l'utilisation de la piste.
Si vous passez en revue toutes
les études complètement, la plupart des recherches utilise Panax ginseng CA
Meyer, nommé d'après le botaniste / explorateur CA Meyer.
Quelques échantillons de
recherche
Une vaste étude épidémiologique
coréen à long terme (enquête statistique) publié en 2009 Journal de médecine
alternative et complémentaire a été mis en place pour déterminer s'il y avait
une association avec le ginseng consommation et de la mortalité ou de la
longévité. Cette étude coréenne a commencé en 1985 avec 6282 sujets âgés de 55
ans et plus. Parmi eux étaient de sexe masculin et féminin ginseng utilisateurs
et non-utilisateurs. L'étude a été achevée à la fin de 2003, et toutes les
mesures statistiques pour ce type d'étude ont été utilisées pour éliminer les
variables pertinentes. Le résultat a montré une réduction significative de la
mortalité toutes causes (décès toutes sources confondues) chez les hommes, mais
pas les femmes. Toutefois, les femmes qui ont utilisé le ginseng ont connu une
réduction significative de la mortalité par cancer.
A Chinese étude sur des souris a
été mis en place pour déterminer les effets de Panax ginseng polysaccharide
(PGP) sur le métabolisme énergétique et la protection mitochondrial. Ces deux
mécanismes, en particulier la protection des mitochondries, de promouvoir
anti-vieillissement ou de la longévité . Cette étude a été publiée en 2009 dans
le Journal américain de la médecine chinoise. L'essai a montré que PGP inhibée
blessure mitochondriale et le gonflement d'une manière dépendante de la
concentration dose, améliorant ainsi la production de l'adénosine triphosphate
(ATP), l'adénosine di phosphate (ADP) et l'adénosine mono phosphate (AMP), tous
des éléments essentiels pour l'énergie métabolique cellulaire. Panax ginseng
polysaccharide (PGP) a également inhibé la formation de malondialdéhyde (MDA),
un composé produit par le stress oxydatif, en les cerveaux des souris de
l'étude. Cette propriété semble offrir un moyen de dissuasion de la démence
liée à l'âge.
Une autre étude, qui a été plus
d'un examen et rapport, de l'Université de Boston a été publiée en médecine
complémentaire et alternative fondée sur les preuves en 2009 (tout l'année pour
les études ginseng). Ils ont indiqué que bien qu'il y ait des preuves de la
capacité de ginseng à augmenter la production d'insuline, diminue la mort des
cellules bêta du pancréas et diminuer la glycémie chez les diabétiques de type
2 patients, sans comprendre entièrement la mécanique de la façon dont cela se
produit empêche la normalisation pour les applications médicales pratiques pour
le traitement du diabète. Le groupe de Boston évoque la nécessité de poursuivre
les recherches pour mieux déterminer les mécanismes des effets du ginseng sur
l'hyperglycémie pour déterminer les applications pratiques pour les
diabétiques. Opinion: Le libellé exact de ce rapport suggère qu'il peut y avoir
un effort pour comprendre comment synthétiser un composé qui imite les
propriétés du ginseng à breveter comme médicament. C'est ce que la recherche
médicale est souvent sujet.
En général, la plupart des
herboristes recommandent de prendre le ginseng pendant deux à trois semaines
avec des intervalles non-dose d'une semaine. Alors que certains médecins de
médecine chinoise recommandent la prise de ginseng par jour sans interruption,
d'autres suggèrent ne vont jamais au-delà de trois mois avec un apport
quotidien régulier. Et bien sûr, il y a une contre-indication négative quelques
mises en garde et applications synergiques positifs on devrait connaître. M.
Ginseng explique en grande partie à la source.
Après avoir lu ceci, vous ne
regarderez plus JAMAIS une banane de la même manière!!!
LA BANANE
Les bananes contiennent 3 sucres
naturels: sucrose, fructose et glucose combiné avec des fibres, une banane
donne instantanément un gain d'énergie substantiel. Les recherches ont prouvé
que juste 2 bananes fournissent assez d'énergie pour un entraînement rigoureux
de 90 minutes. Pas étonnant que la banane soit le fruit numéro 1 du monde des
athlètes. Toutefois l'énergie n'est pas la seule façon dont la banane peut vous
aider à garder la forme. Elle peut également aider à guérir ou prévenir un
nombre incalculable de maladies, intégrez-la à votre régime alimentaire
quotidien.
Dépression:
Selon un récent sondage produit
par MIND auprès de gens souffrant de dépression, plusieurs se sentent beaucoup
mieux après avoir mangé une banane. Cela parce que la banane contient du
tryptophane, un genre de protéine que le corps converti en sérotonine, connu
comme relaxant, améliore votre état émotionnel et vous fait généralement sentir
plus heureux. Oubliez les pilules -- mangez une banane. La vitamine B6 qu'elle
contient régularise le niveau de glucose dans le sang, lequel peut affecter
votre état émotionnel.
Anémie:
Élevée en fer, la banane peut
stimuler la production d'hémoglobine dans le sang aidant à diminuer l'anémie.
Pression:
Ce fruit tropical unique est extrêmement
élevé en potassium toutefois faible en sel, le rendant parfait pour combattre
la pression. Tellement, que l'administration "US Food and Drug" vient
tout juste d'accorder à l'industrie de la banane le droit de déclarer la
propriété qu'a ce fruit de réduire le risque de pression et de crise cardiaque.
Pouvoir de concentration :
La recherche démontre que le
fruit élevé en potassium peut aider à l'apprentissage en rendant les pupilles
plus alertes.
Constipation:
Élevée en fibres, inclure la
banane dans votre alimentation quotidienne peut aider la régularité, sans avoir
besoin de laxatifs.
Gueule de bois :
Une des façons les plus rapides
de guérir une gueule de bois est de se faire une barbotine à la banane, sucrée
au miel. La banane calme l'estomac et avec l'aide du miel, fait grimper le
niveau de sucre dans le sang, pendant que le lait calme et hydrate votre
système.
Brûlement d'estomac :
La banane contient un antiacide
naturel, donc si vous souffrez de brûlements d'estomac, essayez de manger une
banane pour calmer la douleur.
Nausées matinales :
Prendre une banane comme
collation entre les repas aide à garder et stabiliser le niveau de sucre dans
le sang et ainsi éviter les nausées matinales.
Piqûres de maringouin :
Avant d'attraper la bombonne
d'insecticide, commencez par frictionner la région affectée avec l'intérieur
d'une pelure de banane. Plusieurs personnes ont été étonnées par le succès de
cette méthode à réduire l'enflure et l'irritation. Nervosité :Élevée en
vitamines B, la banane aide à calmer le système nerveux.
Obésité :
Études effectuées par l'Institut
de Psychologie en Autriche ont démontré que le stress au travail amène les gens
à se gaver de chocolat, bonbons et croustilles. Après vérification auprès de
5,000 patients d'hôpitaux, les chercheurs en sont venus à la conclusion que les
gens obèses avaient un emploi plus stressant. Le rapport conclu que, pour
éviter des rages de sucré / salé, nous devons contrôler notre niveau de sucre
dans le sang et en prenant des collations élevées en hydrates de carbones
toutes les 2 heures permet de le garder stable.
Ulcères :
La banane est utilisée dans les
diètes pour combattre les problèmes intestinaux. C'est le seul fruit cru qui
peut être mangé sans inconfort pour ces genres de cas. Elle protège également
l'estomac en neutralisant l'hyperacidité et réduisant l'irritation.
Contrôle la température :
Plusieurs cultures voient la
banane comme un fruit rafraîchissant pouvant baisser autant la température
physique qu'émotionnelle des femmes enceintes. En Thaïlande, par exemple, les
femmes enceintes mangent des bananes pour s'assurer que leur bébé naisse avec
une faible température.
Désordre Affectif Saisonnier
(DAS):
La banane peut aider les gens
souffrant de DAS car elle contient du tryptophane, qui est un relaxant
émotionnel naturel.
Fumeur :
La banane peut également aider
les gens voulant arrêter de fumer. Le B6, B12 qu'elle contient, de même que le
potassium et magnésium s'y retrouvant, aide le corps à récupérer des effets de
manque de nicotine.
Stress:
Le potassium est un minéral
vital, lequel aide à normaliser le pouls, envoie de l'oxygène au cerveau et
régularise la rétention d'eau. Lorsque vous êtes stressé, votre métabolisme
augmente, réduisant votre niveau de potassium. Ceci peut être calibré avec
l'aide d'une collation élevée en potassium telle qu'une banane.
Crise cardiaque :
Selon une recherche effectuée par
"The New England Journal of Médicine," manger des bananes
régulièrement peut réduire le risque de décès par crise cardiaque d'environ
40%!
Verrues :
Ceux qui n'utilisent que la
médecine naturelle jurent que si vous voulez vous débarrasser d'une verrue,
prenez un morceau de peau de banane et placez-la sur la verrue, le côté jaune
vers le haut. Maintenez la peau en place avec un "plaster" ou un
ruban chirurgical!
Donc, la banane est vraiment un
remède naturel pour beaucoup de maladies. Lorsque vous la comparez à une pomme,
elle contient 4 fois plus de protéines, 2 fois la quantité d'hydrate de
carbone, 3 fois plus de phosphore, 5 fois plus de vitamine A et fer, et 2 fois
des autres vitamines et minéraux. Elle est également riche en potassium et est
l'un des aliments les plus nutritifs.
Tisane d'ortie (infusion d'ortie)
Utilisation : grâce à son effet
diurétique, contre les cystites et pour prévenir les calculs urinaires et
rénaux, contre le rhume des foins, contre la goutte.
1. INGREDIENTS
Pour une tasse de tisane d'ortie,
utilisez :
2 cuillers à café (1.5 gr) des
*feuilles d'ortie (notre photo)
Environ 200 ml d'eau
* On peut trouver les feuilles
d'ortie en vente au détail en pharmacie (aussi en droguerie en Suisse ou en
herboristerie en France) ou dans la nature de préférence au printemps.
2. PREPARATION
Chauffez l'eau à ébullition puis
ajoutez cette eau bouillante aux feuilles d'ortie
Laissez infuser une dizaine de
minutes (afin d'obtenir une dose efficace en substances actives)
3. POSOLOGIE
Buvez une tasse plusieurs fois
par jour (jusqu'à 8 fois)
EFFETS / INDICATIONS
Effets :
En usage interne (à avaler, en
tisane ou comprimé) :
Diurétique, galactogogue,
antirhumatismal, léger effet anti-allergique (dans le rhume des foins)
En usage externe (à appliquer, en
lotion ou autre solution) :
Tonique, astringent,
hémostatique.
Indications :
En usage interne (principalement
en tisane) :
Affections des voies urinaires,
cystites, comme draineur, rhume des foins,goutte, prévention de calculs
urinaires et rénaux
En usage externe (à appliquer en
lotion ou autre solution) :
Soins cosmétiques par exemple
pour les cheveux : traite la chute des cheveux, favoriserait la repousse ainsi
que contre les pellicules et cheveux gras, rhumatismes : arthrite, arthrose,
goutte.
EFFETS SECONDAIRES /
CONTRE-INDICATION / INTERACTIONS
Effets secondaires : aucun connu
(à notre avis) Contre-indication : attention, l'effet diurétique n'est pas
conseillé en cas de certaines maladies cardiaques ou problèmes d'oedème. Pour
toute question de diagnostic demandez conseil à votre médecin ou pharmacien.
Le radis, rose ou noir, du
piquant et de la détox…
Désintoxiquant, régénérateur du
foie et draineur des reins, le radis convient particulièrement bien dans
l'ictère, les arthrites chroniques, les névrites et sciatiques, l'obstruction
des voies respiratoires, les états congestifs.
Les radis font parties de la
famille des crucifères dont les propriétés préventives contre certains cancers
sont parfaitement établies, mais ils ont encore plus à offrir.
Cette famille est riche en
nutriments tels que les indoles, les phénols et des flavonoïdes. Les
crucifères, choux ou radis, protègent les cellules notamment en les empêchant
de muter.
Ils contiennent une bonne
quantité de potassium, magnésium, de calcium, de vitamine A et de vitamines du
complexe B.
Les radis sont riches en souffre,
en magnésium et une précieuse essence sulfurée qui lui confère des propriétés
antiseptiques, apéritives et pectorales, qui aide notamment à fluidifier les
sécrétions des bronches et des sinus.
Ils ont également une action
antibactérienne dans les affections des voies respiratoires.
La richesse en vitamine C des
radis en fait un excellent antiscorbutique. C'est aussi un des rares légumes à
contenir de bonnes proportions d'iode.
Désintoxiquant, régénérateur du
foie et draineur des reins, le radis convient particulièrement bien dans l'ictère,
les arthrites chroniques, les névrites et sciatiques, l'obstruction des voies
respiratoires, les états congestifs.
Il aide l'organisme à éliminer de
nombreuses toxines par l'action de divers éléments, dont les glucoraphasatines,
qui stimulent l'activité d'enzymes responsables de la désintoxication.
Toutes ces propriétés
s'appliquent au radis roses tout comme au radis noir, mais elles sont plus
marquées chez ce dernier qui est particulièrement recommandé pour la confection
d'un sirop, que l'on peut consommer à volonté, pour lutter contre le rhume, la
bronchite et les maladies de la vessie.
Un sirop efficace contre la toux
Ce sirop se prépare en coupant un
radis noir en rondelles; ensuite placer une couche de radis coupés au fond d'un
récipient creux, ajouter une couche de sucre de canne, ensuite une nouvelle
couche de rondelles de radis, une autre de sucre, etc. Recueillir le jus qui
s'écoule.
Le jus de radis noir est efficace
pour stimuler les contractions de la vésicule biliaire, de l'estomac et des intestins.
On le recommande en cure dans les cas d'insuffisance hépatique et de
constipation.
Radis noir et vésicule biliaire
Il est souvent utilisé dans les
cas de calculs biliaires, mais attention: si le radis noir est efficace pour
prévenir les calculs de la vésicule biliaire, il ne faut pas consommer de radis
noir, sous aucune forme, en cas de présence de ces calculs ou d'obstruction des
voies biliaires. cela pourrait provoquer une irritation ou inflammation de la
muqueuse gastrique ou favoriser une obstruction du canal biliaire.
On peut consommer les radis en
crudités dans les salades, ou dans la soupe. On peut également consommer les
feuilles du radis, elles favorisent la digestion de ce légume.
Petite précaution:
Si le radis est un excellent aliment
santé, il faut cependant se méfier de ne pas en consommer en excès, la
stimulation du foie, de la vésicule biliaire et des reins pouvant alors se
transformer en irritation de ces organes et du système digestif en général.
CANNELLE ET MIEL
Il est constaté qu'un mélange de
miel et de cannelle guérit la plupart des maladies. Le miel est produit dans la
plupart des pays du monde. Les scientifiques d'aujourd'hui ont aussi noter que
le miel comme médicament est très efficace pour toutes sortes de maladies. Le
miel peut être utilisé sans effets secondaires. Même si le miel est doux, quand
il est pris dans le dosage d'un médicament, ne nuit pas aux patients
diabétiques.
MALADIES CARDIAQUES:
Faites une pâte de miel et de
cannelle en poudre, le mettre sur un toast au lieu de la gelée et de la
confiture et mangez en régulièrement pour le petit déjeuner. Il réduit le taux
de cholestérol et pourrait potentiellement sauver d'une crise cardiaque. .
L'utilisation régulière de cannelle miel renforce les battements du coeur. En
Amérique et au Canada, les maisons de soins infirmiers ont traités des patients
avec succès et ont trouvé, qu'en vieillissant, les artères et les veines
perdent leur flexibilité et s'obstruent ; miel et la cannelle revitalisent les
artères et les veines.
ARTHRITE:
Les patients arthritiques peuvent
bénéficier en prenant une tasse d'eau chaude avec deux cuillères à soupe de
miel et une petite cuillère à café de cannelle en poudre. Lorsqu'il est pris
quotidiennement, même l'arthrite chronique peut être guérie. Dans une récente
recherche menée à l'Université de Copenhague, il a été constaté que, lorsque
les médecins traitent leurs patients avec un mélange d'une cuillère à soupe de
miel et de cannelle en poudre demi cuillère à café avant le petit déjeuner, ils
ont constaté que moins d'une semaine après(sur les 200 personnes ainsi
traitées) pratiquement 73 patients étaient totalement soulagés de la douleur -
et dans le mois, la plupart des patients qui ne pouvaient pas marcher ou se
déplacer à cause de l'arthrite commençait à marcher sans douleur.
VESSIE INFECTIONS:
Mettre deux cuillères à soupe de
cannelle en poudre et une cuillère à café de miel dans un verre d'eau tiède et
boire. Cela détruit les germes dans la vessie ....
CHOLESTÉROL:
Deux cuillères à soupe de miel et
trois cuillères à café de cannelle en poudre mélangé dans 16 onces d'eau du thé
réduisent le niveau de cholestérol dans le sang de 10 pour cent en deux heures.
Comme mentionné pour les patients arthritiques, pris trois fois par jour, une
chronique de cholestérol pourraient être guéris. Selon les informations reçues
dans ce journal, le miel pur pris avec de la nourriture soulage le cholestérol.
RHUME:
Ceux qui souffrent d'un rhume
commun ou sévère devrait prendre une cuillerée à soupe de miel tiède avec 1/4
cuillère de cannelle en poudre par jour pendant trois jours. Ce processus
permettrait de remédier plupart des toux chroniques, le froid, et libère les
sinus, et c'est délicieux aussi! Maux d'estomac: Le miel pris avec de la cannelle
en poudre guérit des maux d'estomac et est également indiqué pour les ulcères
d'estomac.
GAZ:
Selon les études réalisées en
Inde et au Japon, il est révélé que lorsque le miel est pris avec de la
cannelle en poudre, l'estomac est soulagée de gaz.
SYSTÈME IMMUNITAIRE:
L'usage quotidien du miel et de
la cannelle en poudre renforce le système immunitaire et protège le corps
contre les attaques bactériennes et virales. Les scientifiques ont constaté que
le miel contient diverses vitamines et du fer en grandes quantités.
L'utilisation constante de miel renforce les globules blancs (où l'ADN est
contenu) pour lutter contre les maladies bactériennes et virales.
INDIGESTION:
Saupoudré de cannelle en poudre
sur deux cuillères à soupe de miel avant de prendre la nourriture cela soulage
l'acidité et permet une digestion des plus lourds des repas
GRIPPE:
Un scientifique en Espagne a
prouvé que le miel contient un naturel «ingrédient» qui tue les germes de la
grippe et guérit le patient de la grippe.
LONGÉVITÉ:
Un thé fait avec du miel et de la
cannelle en poudre, si pris régulièrement, arrête les ravages de la vieillesse.
Utilisez quatre cuillères à café de miel, une cuillère à café de cannelle en
poudre et trois tasses d'eau bouillante pour faire un thé. Buvez 1/4 de tasse,
trois à quatre fois par jour. Il maintient la peau fraîche et douce et de l'âge
arrestations ancienne.
GORGE rauque ou SORE:
Quand la gorge est un
chatouillement ou est rauque, prenez une cuillère à soupe de miel et buvez
jusqu'à ce parti. Répéter toutes les trois heures jusqu'à ce que la gorge soit
sans symptômes.
ACNÉS:
Trois cuillères à soupe de miel
et une cuillère à café de cannelle en poudre pâte. Appliquer cette pâte sur les
boutons avant de dormir et lavez le lendemain matin à l'eau tiède. Quand cela
est fait tous les jours pendant deux semaines, il supprime tous les boutons à
la racine.
MALADIES DE LA PEAU:
Appliquer le miel et la cannelle
en poudre en parts égales sur l'eczéma et sur tous les types d'infections de la
peau.
PERTE DE POIDS:
Quotidiennement le matin une
demi-heure avant le petit déjeuner dans un estomac vide, et le soir avant de
dormir, boire du miel et la cannelle en poudre bouilli dans une tasse d'eau.
Lorsqu'ils sont pris régulièrement, cela réduit le poids . Aussi, boire
régulièrement ce mélange permet de ne pas accumuler de la graisse dans le
corps.
CANCER:
Des recherches récentes au Japon
et en Australie ont révélé que le cancer avancé de l'estomac et les os ont été
soignés avec succès. Les patients souffrant de ces types de cancer devraient
prendre quotidiennement une cuillerée à soupe de miel avec une cuillère à café
de cannelle en poudre trois fois par jour pendant un mois.
FATIGUE:
Des études récentes ont montré
que la teneur en sucre du miel est plus utile, plutôt que d'être préjudiciable
à la force du corps. Les personnes âgées qui prennent le miel et la cannelle en
poudre en parts égales sont plus éveillés et plus souple. Le Dr Milton, qui a
effectué des recherches, dit une cuillère à soupe et demie de miel prise dans
un verre d'eau et saupoudrée de cannelle en poudre, même lorsque la vitalité de
l'organisme commence à diminuer, lorsqu'il est pris quotidiennement après le
brossage et l'après-midi à environ 3:00 PM, augmente la vitalité de l'organisme.
MAUVAISE HALEINE:
Les gens de l'Amérique du Sud, se
gargariser avec une cuillère à café de poudre de miel et de cannelle mélangés
dans l'eau chaude.
EXTRAIT DE PÉPINS DE PAMPLEMOUSSE
: CETTE ANTIBIOTIQUE NATUREL SERA-T-IL VICTIME DE SON SUCCÈS ?
L’extrait de pépin de
pamplemousse (EPP) est considéré depuis une quinzaine d’années comme le
meilleur antibiotique naturel. Et l’on a raison de le considérer comme
tel. Depuis les travaux du Dr Jacob Harich qui l’ont popularisé dans les années
80/90, on n’a pas trouvé mieux. Cette histoire serait merveilleuse si le succès
de cette médication n’avait rapidement attiré des escrocs et des margoulins de
toutes espèces à l’affût d’un marché juteux...
Un incroyable antibiotique, d’une
simplicité biblique
Comme on peut le lire dans le
livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des
nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90,
l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux
antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des
équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action
rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser,
rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les
yeux.
En usage interne, il est efficace
aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections,
particulièrement :
· Les infections du
système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires…
· Les ulcères de
l’estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
· Le Candida albicans,
les candidoses et autres mycoses.
· Le rhume, les
infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques …
· Les infections
urinaires et cystites.
· La fatigue
chronique et l’affaiblissement immunitaire.
· Les
allergies (car il est aussi hypoallergène).
En usage externe, l’EPP est aussi
un recours dans bien des situations :
· La bouche
: aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite…
· La peau : acné,
dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre
d’insectes, verrues, mycoses…
· Les cheveux
: pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux…
· Les pieds
: eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
· Les ongles
: onychomycose, panaris.
· Les organes génitaux
: vaginite, infections vaginales, parasites…
Pourtant, à l’expérience, il y a
de quoi douter
Malgré la réputation justifiéee
de l’EPP, il m’est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses
vertus. Pendant longtemps, j’ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma
fille et je ne constatais aucun effet. J’ai ainsi tenté de guérir des rhumes,
je l'ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais
rien… Peut-être cela vous est-il arrivé aussi !
Un jour pourtant, j’ai trouvé un
produit qui semblait fonctionner. J’en ai appliqué sur une piqure d'araignée
qui s'infectait… Et là, ça m’a d'abord chatouillé fort puis tout a
disparu. Alors j'ai compris qu'il y avait différentes qualités d'EPP et je
me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ?
On n’y comprend plus rien sur les
étiquettes
Pas facile de s’y retrouver. Les
dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s’avèrent
très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien
dangereux.
Sur les étiquettes, on lit
parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou
encore « à base de pépins et d’écorces »ou « de pépins et de pulpe »…
Quant à la fabrication, le plus
souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l’on trouve même de l’EPP sous
forme de comprimés ou à usage cosmétique.
De nombreuses fraudes signalées
À plusieurs reprises, dans les
années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que
certains EPP n’étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d’entre eux
a été détecté la présence en quantité non négligeable d’antibiotiques et de
conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium
quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un
composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des
laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes
concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9
étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du
marché au début des années 2000.
Avec du chlorure de benzéthonium,
vous pouvez remplacer n’importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la
confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !
Une légende merveilleuse... bien
qu'écornée
Vous connaissez certainement
cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et
physicien émigré aux Etats-Unis, jardinier à ses heures, remarqua que les
pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia
alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de
pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins
nocive que tout antibiotique…
Mais les bricolages frauduleux
subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que
l’EPP, seul, n’avait aucune activité antibactérienne (2).
Je ne suis pourtant pas le seul à
avoir expérimenté avec succès l’EPP et il s’agissait bien d’un authentique EPP,
pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut
donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.
D’ailleurs, les cultivateurs bio
font grand usage de l’EPP
La preuve en est que ses
propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en
jardinage (on l’utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les
pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant
d’infections à champignons, on s’en sert pour nettoyer le pis des vaches, les
cages et les stalles…).
Alors si la méfiance s’impose
face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines
pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives,
l’EPP reste un excellent produit qu’il faut simplement savoir bien choisir.
Des études rassurantes... enfin !
Les troublantes constatations
d’une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante
controverse, toujours en cours ; autour de l’ammonium quaternaire (3). Mais il
faut savoir que l’EPP n’a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de
très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans
les années 90 (notamment à l’Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides
du pépin de pamplemousse (4).
L’étude citée plus haut a ainsi
confirmé que l’action de l’EPP s’étend à environ 800 souches de bactéries
et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu’à un très grand
nombre de parasites unicellulaires. L’extrait de pépin agit en désorganisant la
membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes.
Avantage imparable par rapport
aux antibiotiques chimiques : l’EPP inhibe les bactéries nocives au niveau
intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très
peu les lacto-bactéries. Globalement, l’ensemble de la flore s’en trouve
améliorée.
Intéressons-nous au procédé de
fabrication industriel standard
L’EPP est normalement produit à
partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse
originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent
toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous
ou Citrus maxima.
Le plus souvent, on vous propose
un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d’une extraction à
sec. Grosso modo :
· Les pépins sont
séchés et réduits en poudre.
· Cette poudre est
ensuite dissoute dans de l’eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et
la pectine).
· Une autre opération
de séchage permet d’obtenir une poudre concentrée.
· Ce concentré est
mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l’eau puis chauffé sous
haute pression.
· Puis il est
refroidi, filtré et traité aux U.V.
Américains ou Chinois fournissent
les marchands
Mais dans les faits, on ne sait
pas comment est précisément fabriqué l’EPP. Car la réalité, c’est que si
l’on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais
fabricants dans l’Hexagone : la matière première est le plus souvent
importée sous forme liquide. D’où vient-elle ? Les principaux fabricants sont
américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable),
allemands.
Difficile de vérifier la qualité
de l’extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait
fabriqué à partir de n’importe quel pamplemousse… Et ça, les marchands
d’EPP concernés se gardent bien de nous le dire.
En plus, l’EPP est maintenant au
centre d’une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà
décidément une histoire à rebondissement…
La guerre des bioflavonoïdes
Même si certains fabricants font
valoir des procédés d’extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous
vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti
quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque.
C’est ainsi que la norme est
d’utiliser 20% en moyenne d’extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir
un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400
mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit.
Comment expliquer alors que l’on
trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ? C’est à
qui proposera le plus…
Les petits calculs des marchands
d’EPP
Tout dépend en fait de la méthode
de mesure utilisée.
Il existe en effet deux
techniques d’analyse quantitative des molécules :
- la chromatographie en phase
liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.
- le test U.V. (l’absorption U.V.
visible).
Or le même extrait donnera pas
exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3
fois plus.
Si l’on vous annonce 1 200 mg,
c’est que l’on a utilisé la méthode d’analyse U.V., 3 fois plus avantageuse
dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l’extrait et pas
seulement les bioflavonoïdes.
Ainsi, un EPP titré à 800 mg
selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de
bioflavonoïdes.
A moins que l’on ait rajouté
artificiellement des flavonoïdes (d’où viennent-ils ?) dans le produit, ou
l’écorce ou le péricarpe (l’enveloppe superficielle du fruit), ce qui se
pratique aussi allègrement.
Autant vous le dire tout de suite
: cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine
C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l’extrait de pépin se
suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action
dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants
antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes
contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.
Quant au péricarpe, rien
n’indique qu’il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui
m’échappent, on m’explique qu’il permet d’obtenir plus facilement la mention
bio…
Faut-il préférer le bio ?
Faut-il privilégier un EPP bio ?
Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de
pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces
d’intrants. Mais l’on en paiera le prix, pour une différence qui, en l’espèce,
n’est pas déterminante.
Car la meilleure filière qui
soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus
paradisi provenant d’Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui
ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement
accéder à un label.
Alors comment choisir sans se
tromper ?
Avant de sortir votre
porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que
possible les points suivants :
· la traçabilité du
produit : assurez-vous qu’il s’agit bien de pépins de Citrus paradisi.
· Privilégiez les
extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de
préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans
ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
· Choisissez de
préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les
comprimés.
· Vérifiez qu’il n’y
ait aucun additif autre qu’un conservateur inoffensif et surtout pas,
évidemment, de chlorure de benzéthonium.
· Méfiez-vous surtout
des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance
bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l’EPP ne doit être que
très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés
à l’étranger.
Enfin des formules fiables !
A force de chercher la meilleure
formule possible, j’ai fini par en trouver une - ce qui n'exclut pas, bien
entendu, qu'il y en ait d'autres. Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés
ci-dessus mais en plus, elle est issue d’une fabrication française, assez rare,
basée sur une macération et non sur une poudre de pépins.
Les pépins importés d’Asie,
entiers, sont mis en macération dans un mélange d’eau et de glycérine à raison
de 20 g de pépins pour 100 ml. A travers des opérations de macération
successives, on extrait ainsi l’ensemble des principes actifs et « non actifs »
(ou considérés comme tels) du pépin et on obtient un produit concentré huileux
naturellement titré à 400 mg de bioflavonoïdes. A ce taux là, on estime que
l’action est déjà optimum.
Au final, avec cet EPP basé sur
le totum, notre organisme bénéficie de tous les principes du pépin : il
filtrera ce dont il aura réellement besoin et éliminera le reste.
Pourquoi faire compliqué quand on
peut faire simple ? Tout est entièrement naturel dans ces EPP, excepté bien sûr
le conservateur, qui peut être du sorbate de potassium par exemple, inoffensif.
La fabrication est, de fait, contrôlée de A à Z. Ce type de produit ne
court pas les rayons des boutiques mais il en existe bel et bien chez certains
petits laboratoires.
Passez un hiver tranquille !
N’hésitez pas à préférer la
qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d’EPP. L’authentique EPP a
fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de
dépassement des doses conseillées.
C’est en particulier un excellent
préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s’adresse
aux rares personnes allergiques aux agrumes.
Les dangers du pamplemousse
De nombreux lecteurs m'écrivent
pour me demander si vraiment, un fruit aussi sain que le pamplemousse peut être
dangereux pour la santé.
Depuis plusieurs mois en effet,
les médias mettent en garde les populations contre les interactions du
pamplemousse avec certains médicaments.
Ma réponse est un grand
OUI !
Les risques du pamplemousse sont
majeurs, avec de nombreux médicaments. Les effets indésirables de ces
médicaments peuvent être multipliés par 20 par un simple verre de jus de
pamplemousse, avec des conséquences potentiellement fatales.
Voici pourquoi, et voici comment
vous protéger :
Le pamplemousse bloque la
métabolisation de certains médicaments
Lorsque vous avalez un
médicament, celui-ci passe dans votre sang puis il est utilisé par votre
organisme : des enzymes vont « digérer » le médicament pour le
transformer en substances utilisables par vos cellules, qui vont l'absorber, le
« consommer », puis rejeter des déchets par les urines.
Le problème est que le
pamplemousse contient des produits actifs appelés furanocoumarines,
qui bloquent de façon irréversible un de nos enzymes, le CYP3A4.
Or, cet enzyme CYP3A4 est
précisément celui qui sert à assimiler de nombreux médicaments contre le
cancer, l'hypertension, les problèmes cardiovasculaires, les problèmes urinaires,
ainsi que des médicaments immunodépresseurs (qui affaiblissent le système
immunitaire) et des anti-infectieux, des analgésiques (antidouleur) et des
tranquillisants (la liste de ces médicaments est à la fin du message).
Voici donc ce qui arrive aux
personnes qui prennent du pamplemousse en même temps que ces médicaments :
Leurs médicaments passent dans
leur sang et ne sont pas « consommés » comme ils devraient l'être,
(en langage médical, on dit « métabolisés »), parce que l'enzyme est
bloqué. La concentration sanguine en médicament s'élève, jusqu'à atteindre
l'overdose, avec des effets graves incluant « mort subite, blocage rénal
aigu, arrêt de la respiration, saignements gastro-intestinaux, destruction de
la moelle osseuse chez les personnes ayant un système immunitaire
affaibli. » (1)
« Prendre un comprimé avec
un verre de jus de pamplemousse est comme prendre 20 comprimés avec un verre
d'eau », explique David Bailey, le pharmacologue canadien qui a découvert
ce phénomène il y a 20 ans, et qui s'est spécialisé dans l'étude des
interactions entre médicaments et pamplemousse. « Il s'agit d'overdose
accidentel. » (2) Des études avaient en effet déjà indiqué que boire un
verre de 200 mL de pamplemousse par jour, trois jours de suite, provoque une hausse
de 330 % de la concentration sanguine de simvastatine, un médicament très
couramment prescrit contre le cholestérol, par rapport à un verre d'eau.
85 médicaments concernés
Malheureusement, il existe de
plus en plus de médicaments qui sont métabolisés par l'enzyme CYP3A4 – et dont
la métabolisation est donc bloquée par la consommation de pamplemousse.
La liste est passée de 17
médicaments en 2008 à 43 en 2012 !
Le risque d'accident s'est donc
considérablement élevé, et justifie aujourd'hui que chacun veille à ce que les
médicaments qu'il prend ne soient pas incompatibles avec le pamplemousse.
Ceci est d'autant plus important
que l'effet se produit même avec des petites doses, que le pamplemousse soit
consommé tel quel ou sous forme de jus.
Les personnes de plus de 45 ans
compensent moins bien les concentrations excessives de médicaments dans le
sang, et sont donc particulièrement vulnérables, surtout que ce sont elles qui
consomment en général le plus de pamplemousses.
Comment vous prémunir
Si vous ne prenez aucun
médicament, pas de problème, vous pouvez continuer à vous régaler de ce fruit
délicieux. Si vous prenez des médicaments, vous n'êtes pas forcément obligé
d'arrêter le pamplemousse.
Vous devez savoir que le risque
ne concerne que :
- les médicaments pris
oralement (par la bouche) ;
-qui ne sont que faiblement ou
moyennement absorbés par l'organisme ;
-et qui sont métabolisés par
l'enzyme CYP3A4, ou cytochrome P450 3A4, ce que vous pouvez vérifier sur la
notice.
Lorsque c'est nécessaire, la
notice des médicaments concernés comprend toujours l'avertissement de ne PAS
consommer de pamplemousse simultanément, donc c'est une raison de plus de
toujours lire les notices.
BIENFAITS DE
L'EAU CITRONNÉE LE MATIN
Commencez la journée avec de
l’eau tiède et le jus de citron.
C’est tellement simple et les
avantages son très grands :
1. Renforce votre système
immunitaire
Les citrons sont riches en
vitamine C et en potassium. La vitamine C est idéale pour lutter contre le
rhume et le potassium stimule les fonctions cérébrales et nerveuses et aide à
contrôler la pression artérielle.
2. Équilibre le pH
Les citrons sont un aliment très
alcalin, croyez-le ou non. Oui, ils sont acides par eux-mêmes, mais à
l’intérieur de notre corps, ils sont alcalin (l’acide citrique ne crée pas
d’acidité dans le corps une fois métabolisé). Comme le savent les « défenseurs
» du bien-être, un corps alcalin est vraiment la clé d’une bonne santé.
3. Aide à la perte de poids
Les citrons sont riches en fibres
de pectine, ce qui contribue au combat contre les fringales. Il a également été
montré que les personnes qui maintiennent un régime alimentaire plus alcalin
perdent du poids plus rapidement.
Par expérience, quand on commence
la journée du bon pied, il est plus facile de faire les meilleurs choix pour soi-même le reste de la journée.
4. Facilite la digestion
L’eau chaude sert à stimuler le
péristaltisme gastro-intestinal et les vagues de contractions musculaires dans
les parois intestinales qui gardent les choses en mouvement. Citrons et limes
sont également riches en minéraux et en vitamines et aider à décoller les amas
ou perdre les toxines dans le tractus digestif.
5. Agit comme diurétique naturel
doux
Le jus de citron va stimuler le
foie qui va éliminer les toxines, il va aussi aide à éliminer les matières
indésirables parce que le citron augmente le taux d’urine dans le corps. Les
toxines sont donc libérées à un rythme plus rapide ce qui aide à garder votre
système urinaire en bonne santé.
6. Clarifie la peau
La vitamine C contribue à
diminuer les rides et les imperfections. L’eau citronnée purge les toxines du
sang ce qui aide à garder la peau claire.
7. Hydrate le système lymphatique
Cette « tasse de bonté » permet
de commencer la journée sur une note hydratée, ce qui aide à prévenir la déshydratation (évidemment) et la
fatigue surrénale. Quand votre corps est déshydraté, ou profondément déshydraté (fatigue surrénale),
il ne peut pas exécuter toutes ses fonctions propres, ce qui conduit à l’accumulation de toxines, au stress,
à la constipation et la liste continue. Vos glandes surrénales sont deux petites glandes qui se situent
au-dessus de vos reins et qui, avec votre thyroïde, créent de l’énergie. Elles sécrètent également des hormones
importantes, incluant l’aldostérone. L’aldostérone est une hormone sécrétée par
les glandes surrénales et qui régule vos niveaux d’eau et la concentration de
minéraux, comme le sodium, dans votre corps, vous aidant à rester hydraté. Vos
glandes surrénales sont également responsables de votre réponse au stress.
L’adoption de cette pratique en
buvant de l’eau tiède avec du citron le matin, peut modifier radicalement votre
expérience de la journée. Ne soyez pas surpris si vous commencez à voir le
matin sous un jour nouveau. Comme je l’ai dit, la recette est très simple – une
tasse d’eau tiède (pas trop chaude) et le jus d’un demi citron.
Dans les commentaires ci-dessous,
dites-moi lequel de ces avantages va vous permettre d’essayer ce rituel du
matin. Ou, si vous êtes déjà un junkie de l’eau citronnée, quels avantages
spécifiques avez-vous remarqué?
L'ail s'avère 100 fois plus
efficace que les antibiotiques et agit en un temps record
Une découverte significative de
l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus efficace
que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des
bactéries responsables de toxi-infections alimentaires.
Leur travail a été publié
récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des
précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à
l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail
était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter
jejuni.
L'ail est probablement l'un des
plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les
gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues.
L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche.
L'ail s'avère 100 fois plus
efficace que les antibiotiques et agit en un temps record
Une découverte significative de
l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus
efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées
par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires.
Leur travail a été publié
récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des
précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à
l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail
était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter
jejuni.
L'ail est probablement l'un des
plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les
gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues.
L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche.
« Ce travail me passionne
beaucoup parce qu'il montre que ce composé a le potentiel de réduire des
bactéries pathogènes de l'environnement et de nos aliments » a dit Xiaonan
Lu un chercheur docteur en sciences et auteur principal de l'article.
L'une des découvertes les plus
intéressantes est que l'ail augmente le niveau global d'antioxydants dans le
corps. Scientifiquement connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre
dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries. Louis
Pasteur a remarqué en 1858 que les bactéries mourraient quand elles étaient
arrosées d'ail. Depuis le Moyen-Âge, l'ail a été utilisé pour guérir les
blessures, broyé ou en tranches et appliqué directement sur les blessures pour
inhiber la propagation de l'infection. Les russes nomment l'ail, la pénicilline
russe.
« C'est la première étape
vers un développement ou une réflexion vers de nouvelles stratégies
d'intervention », a dit Michael Kokel, co-auteur de recherches sur
le Campylobacter jejuni pendant 25 ans.
« Le Campylobacter est une
des causes bactériennes les plus fréquentes des toxi-infections alimentaires
aux États-Unis et probablement dans le monde » a dit Konkel. Quelque 2,4
millions d'américains sont atteints chaque année d'après le Centre américain de
Contrôle et de Prévention des Maladies, avec des symptômes comme de la
diarrhée, des douleurs abdominales et de la fièvre.
Les bactéries sont également
responsables dans presque un tiers des cas du déclenchement d'une maladie
paralysante rare connue sous le nom de syndrome de Guillain-Barré.
Le disulfure de
diallyle est un composé organosoufré dérivé de l'ail et de quelques autres
plantes de la famille Allium. Il est produit pendant la décomposition de
l'allicine libéré quand on écrase l'ail.
Lu et ses collègues ont observé
la capacité du disulfure de diallyle à tuer les bactéries quand elles sont
protégées par un biofilm visqueux (sécrété par la bactérie, NdT), ce qui les
rend 1000 fois plus résistantes aux antibiotiques que les cellules bactériennes
flottant librement. Ils ont découvert que le composé peut facilement pénétrer
le biofilm protecteur et tuer les cellules bactériennes en se combinant avec un
enzyme contenant du soufre, et de ce fait changer la fonction de l'enzyme et
bloquer efficacement le métabolisme de la cellule.
Les chercheurs ont découvert que
le disulfure de diallyle était aussi 100 fois plus efficace que les
antibiotiques appelés érythromycine et ciprofloxacine et
qu'il agit souvent en un temps record.
Deux travaux précédents publiés
l'an dernier par Lu et ses collègues de l'université en Microbiologie
Environnementale et Appliquées et en Chimie Analytique ont montré que
le disulfure de diallyle et d'autres composés organo-sulfurés tuaient
efficacement des pathogènes d'origine alimentaire tels que le Listéria
Monocytogénès et Escherichia Coli O157 : H7.
« Le disulfure de diallyle
peut être utile pour réduire le niveau deCampylobacters dans l'environnement
et pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation,
car on trouve dans les deux cas la bactérie dans le biofilm » a dit
Konkel.
« Le disulfure de diallyle
pourrait rendre beaucoup d'aliments moins dangereux » a dit Barbara Rasco,
co-auteur des trois derniers articles et conseillère de Lu pour son doctorat en
sciences alimentaires. « On peut l'utiliser pour nettoyer les surfaces de
préparation alimentaire et comme conservateur dans les aliments emballés comme
les salades de pâtes et de pommes de terre, les salades de choux et de la
charcuterie ».
« Ceci ne prolongerait pas
seulement la durée de consommation mais réduirait aussi la croissance de
bactéries potentiellement nocives » a-t-elle dit.
La substance naturelle peut aussi
être obtenue sans l'introduction artificielle de produits chimiques dangereux
qui perturberaient ses capacités de réduction des maladies.
Ironiquement, beaucoup de
chercheurs pensent que les antibiotiques peuvent être l'un des nombreux
facteurs qui contribuent à obstruer les intestins des jeunes enfants.
Sa renommée a défiée les temps,
l'évolution de la médecine. Elle est à la fois curative et préventive. En
effet, riche en éléments soufrés, iode, silice, ajoène, etc. L'ail contient
aussi de l'allicine qui stimule la circulation sanguine et tue les
bactéries. Il est riche en acides animiques, germanium, calcium, cuivre, zinc,
potassium, magnésium, sélénium, zinc, vitamines A, B 1 et C, des acides gras
essentiels (Vitamine F) et des douzaines de composés antioxydants...
L'ail est :
- antibactérien,
- antiviral,
- antifongique,
- antiparasitaire,
- anti-tumoral,
- antioxydant,
- anti-inflammatoire,
- antiseptique,
- hypoglycémiant,
- vermifuge,
- diurétique,
Des chercheurs ont récemment prouvé
que l'ail contient de l'ajoène qui, tout comme l'aspirine, empêche la
coagulation du sang et, de ce fait, apporte une meilleure fluiditée et protège
le système contre les risques cardiovasculaires. Il diminue la tension
artérielle et le taux de cholestérol.
Des études cliniques effectuées
dans 15 pays ont démontré que l'ail pourrait freiner l'obstruction artérielle
et même faire régresser ce processus selon le cardiologue Arun Bordia, du
Tagore Medical College en Inde, propriétés attribuables à la présence
d'antioxydants capables de neutraliser les agents responsables de la
destruction artérielle. On lui attribue la capacité de réduire les plaques
d'athéromes et à prévenir la formation de nouvelles lésions.
L'iode et la silice contenus dans
l'ail ont la propriété de dilater les capillaires, ce qui facilite la
respiration et diminue les troubles respiratoires.
L'ail est bénéfique pour les
personnes souffrant de diabète car à cause de ses propriétés hypoglycémiques :
il réduit le taux de sucre dans le sang lorsqu'il est consommé de façon
régulière.
L'ail apporte des effets sur le
taux de cholestérol sérique, propriété contenue dans l'allicine.
L'allicine est formé d’un acide
aminé converti par une enzyme lorsque l'ail est coupé mastiqué et ingéré.
L'allicine se retrouve uniquement
dans l'ail cru fraîchement coupé et broyé.
Ail et Cancer : C'est dans le
domaine du cancer que l'ail semble remporter ses plus grandes victoires. Selon
plusieurs revues médicales (American Chinese Medecine, Science, Journal of Urology),
l'ail peut réduire les tumeurs même malignes.
L'ail augmente le taux de
combativité du système immunitaire pour protéger notre système, notamment dans
certains types de cancer comme celui du sein, de l'estomac, du côlon et de la
peau.
Le Dr Benjamin Law, professeur au
département de microbiologie de l'Université de Loma Linda, école de médecine
de Californie, affirme que l'ail diminue la progression de champignons
parasites et aide à détruire les cellules cancérigènes.
Depuis 2007, je l'utilise contre
les angines et les picotements à la gorge de cette façon :
Plusieurs gousses d'ails crus
broyés dans une purée ou dans une salade, midi et soir, pendant 2 jours
maximum.
Certes on a une mauvaise haleine
mais c'est Magique.
Composition de l'Ail :
- 64 % d'eau,
- 27,5 % de glucides,
- 6% de protéines,
- 3 % de fibres,
- divers : prostaglandine, acide
phénols, phytostéroïdes, polyphénols, flavonoïdes...
- Vitamines (mg par 100g) : B1
(0,2), B2 (0,08), B3 (0,65), B5 (0,6), B6 (1,2), C (30), E (0,1), A...
- Minéraux (mg par 100g) :
Potassium (446), Souffre (200), Phosphore (144), Calcium (38), Magnésium (21),
Sodium (10), Chlore (30)...
- Oligo élements : Fer (1,4),
Zinc (1), Manganèse (0,46), Bore (0,4), Cuivre (0,15), Nickel (0,01), Molybdène
(0,07), Iode (0,003), Sélénium (7 à 20 ppm).
CURCUMA
(cet article est une ébauche..
tellement il y aurait à dire sur cet épice « des Dieux » .. ! )
Le curcuma : une épice aux
nombreux bienfaits pour la santé.
Une plante de la famille des
zingibéracées (proche cousin du bananier).
Elle est originaire d' Asie
(Inde).
Il est aujourd'hui cultivé en
Indonésie, Japon, Chine...
A la Réunion, cette épice porte
le nom de "safran pays" alors qu'il n'a rien à voir.
Nom botanique: curcuma
alismatifolia,curcuma leucorhizza pour les variétés ornementales.
Il en existe au moins trente
variétés ne dépassant pas 80 centimètres.
Parmi ces variétés on en compte
au feuillage panaché (de blanc: c. petiolata 'Variegata', aux tiges rouges: c. Rubescens)
C'est une plante à rhizome dont
on extrait le condiment.
Son feuillage est caduc.
On la cultive comme plante vivace
à repos hivernal en pot ou au jardin en massif.
Son rhizome ne supporte pas le
gel.
DES BIENFAITS INNOMBRABLES :
En médecine Ayurvédique, le
curcuma est utilisé depuis des millénaires pour traiter les affections à
caractère inflammatoire.. Il fait
partie intégrante de leurs plats végétariens quotidiens.
Sous forme d'épice ou d'huile
essentielle, le curcuma protège du cancer, de la maladie d'Alzheimer, stimule la digestion et soulage le
psoriasis…
Connu depuis l'Antiquité, le
curcuma est une plante herbacée qui décore de plus en plus nos intérieurs. En outre cette plante est pourvue
d'un rhizome charnu, ressemblant au gingembre. Réduit en poudre, il ne se contente plus de colorer le curry
: grâce à la curcumine, les applications du curcuma sont nombreuses, il recèle et révèle des bienfaits
thérapeutiques intéressants et reconnus.
Les vertus thérapeutiques du
curcuma :
Antioxydant de premier plan dans
la lutte contre le vieillissement ;
Anti-inflammatoire puissant,
efficace dans les inflammations articulaires, respiratoires, intestinales,
digestives, ... ;
Protection du foie grâce à son
action tonique favorisant l'élimination de la bile ;
Prévention de la maladie
d'Alzheimer ;
Antiviral et antimicrobien
puissant, très utile pour soulager les maux hivernaux : grippe, rhume, maux de gorge, ... ;
Anti-cancer précieux, la
curcumine prévient et freine le développement de certains cancers. L'Inde,
grand consommateur de curcuma, présente
un taux très faible de cancer du colon ;
Prévention des maladies
cardio-vasculaires en agissant sur le mauvais cholestérol et en fluidifiant le
sang, le curcuma aide au maintien de la
santé des artères ;
Combat les inflammations de la
peau et est un cicatrisant puissant ;
Anti-douleur utile dans les
suites d'opérations et dans les désagréments dus au cycle féminin;
Usage interne de la poudre de
curcuma
Pour bénéficier au maximum des
effets de la curcumine, préférez le curcuma bio. Il est utile d'en
consommer quotidiennement au
minimum 1/2 cuillère à thé. La saveur du curcuma étant subtile, il est facile d'en ajouter à de nombreux
plats.
Les bienfaits du curcuma, employé
seul, sont mal assimilés par notre organisme, il est nécessaire de l'associer à du poivre noir qui
contient de la pipérine ce qui permet d'augmenter considérablement
l'absorption de la curcumine. Au
même titre, l'association avec de l'huile d'olive ou de colza, de l'ananas et/ou du gingembre favorise
l'assimilation de la curcumine.
COMME ANTI-INFLAMMATOIRE
L’action anti-inflammatoire du
curcuma est comparable à celle de la cortisone, de la phénylbutazone
(utilisée dans le traitement de
l’arthrite rhumatoïde) et des anti-inflammatoires non-stéroïdiens. Il semble que le curcuma agisse en inhibant
des enzymes qui participent à la synthèse des substances inflammatoires - elles-mêmes
dérivées de l’acide arachidonique - comme les prostaglandines E2 et les leucotriènes. On pense qu’il
diminue le relâchement des médiateurs chimiques des cellules et des neutrophiles. Il semble également
augmenter l’effet du cortisol sur les cellules ou peut être même prolonger la demie-vie de ce dernier et/ou
en diminuer sa dégradation hépatique.
Lorsque le curcuma est associé à
des acides gras essentiels, ils se potentialisent mutuellement dans leurs actions anti-inflammatoires.
Contrairement à certains anti-inflammatoires de synthèse, le curcuma n’inhibe pas la prostacycline, qui est un
important facteur de prévention des thromboses vasculaires. Aussi, sa grande action antioxydante joue
un rôle important dans son effet anti-inflammatoire.
DIGESTIF
Le curcuma améliore la digestion
en stimulant le foie et la vésicule biliaire - l’excrétion de la bile en est augmentée de 100%. Il semble
augmenter la production d’enzymes pancréatiques. Il est aussi
hépatoprotecteur (surtout grâce à
ses effets antioxydants causés par l’augmentation hépatique de
glutathion et d’enzymes
hépatiques - particulièrement le SGOT et SGPT - noms anglais - qu’il provoque), bactéricide et parasiticide.
ATHÉROSCLÉROSE
Tel que mentionné précédemment,
le curcuma est antioxydant. Il prévient la peroxydation des lipides, dont le cholestérol. Et c’est
justement ce cholestérol « peroxydé » qui se dépose dans la membrane des
artères.
De plus, le curcuma réduit de
façon significative le taux de cholestérol dans le sang en diminuant sa
réabsorption intestinale, en
augmentant la transformation du cholestérol en acides biliaires et en
augmentant l’excrétion de la
bile.
THROMBOPHLÉBITE
De par son action
anti-inflammatoire et fluidifiante (diminue l’agrégation plaquettaire, aide
donc à garder le sang fluide), le curcuma aide à
prévenir et à soulager la thrombophlébite.
CANCER
Utilisé en traitement préventif
et en curatif. Il fait régresser les cancers déjà existants (surtout oral, du
conduit digestif, du foie, des
seins et de la peau), supprime l’effet mutagène de certaines substances (dont celles présentes dans le tabac)
et inhibe la formation de nitrosamine. En plus, le curcuma prévient les changements génétiques qui
peuvent survenir dans le noyau cellulaire (antimutagène). Tout comme le chardon marie, le curcuma est un
puissant antioxydant. Il prévient la détérioration des tissus qui peut survenir lors des traitements de
chimiothérapie.
BACTÉRICIDE, FONGICIDE ET
PARASITICIDE
Le curcuma inhibe la croissance
de nombreuses bactéries gram positives et gram négatives, dont celles qui causent la dysenterie
amibique (Entamoeba hisolytic) et d’autres, comme le Clostridium perfringens,
le Sarcina, le Gaffkya, les
Staphylococcus, les Streptococcus, les Bacillus et plusieurs champignons pathogènes. Il aide également
lors d’infections en inhibant la production de certaines toxines bactériennes qui peuvent causer de sérieux
torts à l’organisme, dont les aflatoxines, produites par les champignons qui croissent dans la nourriture mal
préservée.
VIH
Plusieurs études ont démontré que
le curcuma ralentit la progression du VIH et semble augmenter le taux de CD 4 et de CD 8 dans le sang.
Deux fonctionnements sont énoncés : 1. Le premier étant que la curcumine (une des substances
actives dans le curcuma) inhibe la synthèse de l’enzyme intégrasse qui permet au virus de s’intégrer au
code génétique de la cellule hôte. 2. Le deuxième est que la curcumine inhibe la production de cytokine
par la cellule hôte. La cytokine stimule la formation du VIH dans les lymphocytes. De plus, comme les
personnes infectées par le VIH ont un besoin accru en antioxydants, le curcuma peut répondre partiellement
à ce besoin. Bref, l’utilisation de ce rhizome dans le traitement du VIH semble prometteur. Plusieurs
études cliniques sont en cours actuellement et notre compréhension des mécanismes d’actions du curcuma
se clarifieront dans les années à venir.
UTILISATION EXTERNE
Peut être utilisé sous forme
d’huile infusée, d’emplâtres, de teinture…
irritation cutanée
plaie
entorse
foulure
douleurs arthritiques
psoriasis
mycoses : pied d’athlète,
vaginite
pityriasis versicolor
galle
ulcères
NÉVRALGIES, SCIATIQUE…
Le curcuma a une action similaire
à celle de la cayenne, relâchant la substance P, impliquée dans la
production du message de la
douleur. Cette substance étant subséquemment épuisée, le message de la douleur s’en trouve inhibé.
EN CUISINE :
En Inde, on l’emploie
libéralement dans le riz, les pommes de terre, les lentilles et les légumes, et
il entre dans la composition de
pratiquement tous les plats de curry ainsi que dans les chutneys.
À la Réunion, on s’en sert pour
lier les sauces et corriger l’acidité de certains mets.
-Nasi kuning (riz jaune) : ce
plat festif de l’Indonésie se prépare avec du riz à long grain, du lait de
coco, du bouillon de poulet (que l’on peut
remplacer par du bouillon de légumes), du curcuma, de la citronnelle, de la cannelle, du clou de girofle,
des feuilles de pandanus (vendues dans les épiceries asiatiques), des feuilles de salam (une plante de
la famille des myrtacées, qu’on peut remplacer par du laurier) et du rhizome de galanga (frais ou en
conserve dans les épiceries asiatiques). Mettre tous les ingrédients dans une casserole ou un cuiseur pour
le riz. Retirer les feuilles avant de servir. Le riz est généralement présenté sous la forme d’un gros
cône entouré de légumes et de viande, poisson ou fruits de mer.
Il peut colorer diverses
préparations, comme la pâte à crêpes ou à gaufres, ou encore, du chou-fleur,
qu’on aura d’abord cuit quelques
minutes à l’eau bouillante, puis fait revenir avec des oignons. Ajouter un peu d’eau, un piment fort haché, de
la noix de coco râpée, du curcuma, saler, poivrer et cuire jusqu’à tendreté.
À la fin de la cuisson, arroser
d’un filet de jus de citron.
Ou on en colorera les
vinaigrettes et, pourquoi pas, les glaces ou les sorbets.
- Piccalilli : cette marinade
créée par les Anglais lors de leur occupation de l’Inde comprend divers légumes (petits oignons, concombre,
chou-fleur, haricots verts, tomates vertes) qui sont mis à macérer 24 heures avec du sel, puis égouttés. On
les fait ensuite cuire avec du vinaigre, de la farine, du sucre (ou du miel) et du curcuma, puis on les met dans
des pots de conserve.
On en mettra également dans les
marinades de concombre, avec des feuilles et des graines d’aneth.
- Poulet à la marocaine :
mélanger 1 c. à soupe de farine avec 1 c. à thé de cannelle, de cumin et de
curcuma. En enrober des morceaux
de poulet que l’on fera ensuite revenir cinq minutes de chaque côté dans un peu d’huile. Diluer 1 c.
à soupe de farine dans du bouillon, ajouter au poulet avec des dattes et des amandes, couvrir et cuire une
dizaine de minutes ou jusqu’à ce que le poulet soit à point.
- Rendang indonésien : ce plat à
base de fines tranches de boeuf se prépare en faisant mariner la viande 30 minutes dans une préparation
composée de sauce soya, oignon, ail, gingembre, galanga, curcuma et eau. Passer tous les ingrédients
au mélangeur. N’employer que la moitié de la sauce pour mariner la viande. L’autre moitié sera
mélangée avec du lait de coco et de la citronnelle, puis chauffée à feu doux jusqu’à réduction de moitié.
Puis, mélanger les deux préparations et cuire environ 50 minutes. Servir sur du riz.
On peut en assaisonner une soupe,
une crème ou un velouté, par exemple une crème de courgette ou de courge. Pour lui donner un peu de
consistance, y faire cuire du riz avant de passer la préparation au mélangeur, et pour lui donner une
petite note acidulée, ajouter un filet de jus de citron à la fin de la cuisson.
- Pilaf : en ajouter au pilaf de
boulghour, quinoa, amaranthe, riz sauvage, etc.
LA CULTURE :
La fleur : La floraison est
souvent rose en forme de tulipe. Elles apparaissent l'été.
Plantation et multiplication : Le
curcuma aime une terre riche en humus. Un bon terreau lui conviendra.
Il n'aime pas trop le soleil
direct en plein été et surtout derrière une vitre.
Culture et entretien du curcuma :
L'arrosage sera copieux en plein
été, il aime l'humidité lorsqu'il fait chaud.
L'hiver, on les enlève de la
pleine terre et l'on hiverne les rhizomes au sec et au frais.
En pot, l'apport en eau devra
être le plus faible possible durant cette saison.
Au printemps, on ajoute à l'eau
d'arrosage un engrais pour plantes à fleurs ou on apporte en surface de la matière organique.
Quels sont les bienfaits des
clous de girofle ?
En huile essentielle, le clou de
girofle est depuis longtemps reconnu comme anti-inflammatoire et
soulage donc les rhumatismes, les douleurs musculaires, …etc.
Les clous de girofle auraient
également une propriété antiseptique et servaient d’anesthésiant
local. Ils sont utilisés depuis des millénaires en Asie pour soulager les
douleurs dentaires (dents de sagesse par exemple).
Les clous de girofle tirent tous
leurs bienfaits de leur concentration en eugénol, un composé
aromatique. Ses propriétés en font également un très bon allié dans la lutte
contre certaines affections virales. Il lutte contre la toux.
Antibactériens, les clous de
girofle sont utilisés contre les infections urinaires comme les cystites et les
calculs rénaux et permettent également de lutter contre les maux d’estomac
(ballonnement, aérophagie, gènes gastriques) et le zona. Ils empêcheraient les
vomissements.
Réputé aphrodisiaque, le
clou de girofle rejoint le gingembre et le safran au rang
des aliments bénéfiques pour le couple ! On l’utilisait également
comme tonique utérin en le prescrivant comme infusion aux femmes enceintes
les mois précédents l’accouchement.
Comment utiliser les clous de
girofle ?
On peut s’en servir
pour soulager une dent douloureuse, en imbibant un peu d’huile
essentielle sur un coton-tige. On peut également choisir de mastiquer
quelques clous de girofle. Le fait de mâcher cette épice serait également
susceptible d’améliorer l’haleine. Pensez-y après avoir mangé de l’ail !
On l’utilise depuis longtemps
comme épice pour la cuisine. Il entre dans la composition du
curry avec le curcuma. Il aromatise un pain d’épices, un pot-au-feu, du
vin chaud, une soupe et parfois même une choucroute.
C’est en infusion que
les bienfaits des clous de girofle s’exprime le mieux contre les troubles
digestifs. Disposez entre 3 et 8 clous de girofle (cette épice à un goût très
parfumé et corsé) dans une tasse. Faites bouillir de l’eau et versez sur les
clous. Laissez infuser 10 minutes. Filtrez avec une passoire et ajoutez une
cuillère de miel liquide ou une pincée de cannelle pour sucrer la préparation.
Buvez 3 fois par jour entre les repas. En plus de faciliter votre digestion,
cette infusion vous aidera à prévenir et lutter contre la grippe et autres
maladies infectieuses. Bien utile pour l’hiver qui arrive à grands pas !
En usage externe, ils
étaient employés pour désinfecter et favoriser la cicatrisation des plaies.
On l’utilise fréquemment
comme parfum d’ambiance. Pour cela, il suffit de piquer des clous de girofle
sur toute la surface d’une orange. Ce parfum est alors appelé « pomme
d’ambre » et en plus, il chasse les insectes.
Ses vertus médicinales et son
pouvoir aromatique puissant font du clou de girofle un allié apprécié de toutes
les cuisines. Dites adieu aux bobos du quotidien !
Le Persil
Le persil est une plante des climats tempérés très facile à cultiver dans les jardins potagers ou même dans des jardinières en appartement. Il faut savoir qu’il existe 2 variétés principales se distinguant par l’aspect des feuilles :
Le petroselinum tuberosum dont
les racines sont utilisées pour aromatiser les mets ;
Le petroselinum crispum qui offre
très souvent des feuilles pour la décoration des assiettes.
*Un précieux allié de cuisine
riche en vitamines :
-Plante aromatique, le persil est
couramment utilisé dans beaucoup de préparations en cuisine.
-En raison de leur saveur, les
feuilles de persil alimentaires peuvent stimuler l’appétit et favorise la
digestion gastrique.
-Il constitue un additif culinaire utile du fait de sa forte teneur en vitamines ( le persil est très riche en vitamine C ; il contient d’ailleurs plus de vit C que le citron ou l’orange, il possède également d’abondante quantité de Vit B, provitamine A (carotène), vit B, vit E, vit K, ainsi que de nombreux sels minéraux tels que le magnésium, le phosphore, le fer, le manganèse, le sodium, soufre et calcium.
Ses vertus sur la santé ne sont
pas à prouver, surtout qu’il est ajouté cru à l’alimentation.
*Le persil, plante médicinale :
Son utilisation en tant que
plante médicinale est très ancienne du fait qu’il contient de nombreuses
substances (Huiles essentielles) utilisées en médecine homéopathique
(thérapeutique) et naturelle.
-Son action sur le système
gastro-intestinal fait du persil une plante médicinale de premier choix pour
soulager les ballonnements et les digestions paresseuses, les coliques, les
indigestions ou bien encore la constipation.
-en hygiène bucco-dentaire, mâcher un brin de persil fait disparaître la mauvaise haleine rapidement.
-Utilisé comme fortifiant, le
persil permet de bien démarrer sa journée, de luter contre la fatigue
passagère, il se consomme alors mixé dans un verre d’eau à boire le matin à
jeun.
-Diurétique, antiseptique,
anti-infectieux, antirachitique, le persil est souvent utilisé pour soigner
diverses petites pathologies du quotidien, notamment la cicatrisation des
plaies, faire monter le des mères, il aide à abaisser la tension artérielle
élevée et a des propriétés antiémétiques Le persil est aussi utilisé
pour soigner les troubles menstruels des femmes. C’est un stimule la fécondité
et est un excellent neutralisant des effets négatifs induits par le tabagisme
et la dépendance à l’égard de l’alcool.
-Le persil est employé depuis longtemps dans le traitement des maladies respiratoires chroniques ou infectieuses comme l’asthme, la dyspnée..
-Ses effets sur l’appareil rénal sont aussi nombreux : action sur les calculs rénaux, les coliques néphrétiques ou les infections urinaires récidivantes.
*Des vertus cosmétiques et aphrodisiaques :
- persil trouve, aussi, sa place dans les salles de bains. En décoction, le persil tonifie les cheveux, favorise repousse et éclat, l’infusion de persil s’utilise aussi en cosmétique pour éclairer et purifier le teint.
-Le persil est une tisane de plaisir, parfaite pour stimuler le désir sexuel. Il favorise également la production d’hormones et vous permet d’être plus résistant et plus vigoureux. Il est important de garder à l’esprit que les graines de persil ont un effet aphrodisiaque par la stimulation des glandes sexuelles.
Le persil est donc une plante qui a toute sa place chez vous.
N’hésitez pas de le figurer chaque jour dans votre assiette. C’est un aromate à posséder impérativement dans sa cuisine et dans sa pharmacie.
L'avocat : Le fruit magique
contre le vieillissement cellulaire
Vous entendez beaucoup parler des « radicaux libres », ces molécules agressives qui attaquent vos cellules, et même votre ADN. Ils accélèrent le vieillissement et contribuent à déclencher de nombreuses maladies liées à l'âge, comme l'athérosclérose, les problèmes de vue, les démences, et le cancer.
D'où viennent les radicaux libres ? De la pollution, des produits chimiques, de la cigarette, mais également du fonctionnement normal de vos cellules.
Pour fonctionner, vos cellules ont besoin de brûler un combustible (le glucose), dans de petites usines électriques appelées mitochondries. C'est cela qui leur fournit de l'énergie pour, par exemple, se contracter dans le cas des cellules musculaires, ou émettre des signaux électriques pour communiquer, dans le cas des cellules nerveuses.
Vos cellules fument
Tout comme un moteur émet toujours un peu de fumée, même s'il est bien réglé, vos cellules « fument » et émettent des radicaux libres lorsqu'elles travaillent, même si vous vivez sainement.
Plus vous faites de sport, plus vous utilisez votre cerveau, plus vous éprouvez d'émotions, bref, plus vous vivez intensément, plus vous fabriquez de radicaux libres.
Et il n'existe qu'un seul moyen, dans l'état actuel des connaissances, d'éliminer les radicaux libres : les antioxydants, des substances qui sont naturellement présentes dans votre corps et dans les fruits et légumes frais, surtout colorés.
Le problème est que vos cellules n'absorbent pas facilement les antioxydants que vous mangez. La plupart restent à l'extérieur de vos cellules et sont éliminés de votre organisme sans avoir détruit le moindre radical libre.
Comment faire pour aider les antioxydants que vous manger à pénétrer dans vos cellules ?
Les prodigieux effets des graisses
Il existe un moyen simple d'augmenter considérablement votre taux d'absorption des antioxydants : manger vos fruits et légumes avec un corps gras. Pas nécessairement du beurre ou de la charcuterie : de nombreux aliments contiennent de bonnes graisses et vous pouvez facilement les manger avec vos fruits ou ajouter à vos plats de légumes : il s'agit des fruits à coque (noix, amandes, noisettes...), de l'avocat (ou l'huile d'avocat), des olives, ainsi que toutes les graines (courge, graines de lin broyées, graines de tournesol).
Dans une étude réalisée avec de l'avocat, les chercheurs ont constaté qu'en consommer en même temps que des crudités dans une salade multiplie :
le taux d'absorption du lycopène par 4 (le lycopène est un antioxydant que l'on trouve dans les tomates) ;
le taux de bêta-carotène par 2,6 (le bêta-carotène est un précurseur de la vitamine A que l'on trouve en abondance dans les carottes et dans une moindre mesure dans les légumes verts à feuille).
L'avocat est très riche en acides gras, mais ce sont de bons acides gras, nécessaires à votre santé.
Lorsque c'est de l'huile d'avocat qui a été ajoutée aux crudités, ils ont constaté une multiplication :
du taux d'alpha-carotène par 7,2 ;
du taux de bêta-carotène par 15,3 ;
du taux de lutéine par 5,1 (la lutéine est un antioxydant rouge-orangé que l'on trouve dans le jaune d'œuf, le maïs, les carottes, les épinard et l'oseille, et qui protège en particulier la rétine).
Vous entendez beaucoup parler des « radicaux libres », ces molécules agressives qui attaquent vos cellules, et même votre ADN. Ils accélèrent le vieillissement et contribuent à déclencher de nombreuses maladies liées à l'âge, comme l'athérosclérose, les problèmes de vue, les démences, et le cancer.
D'où viennent les radicaux libres ? De la pollution, des produits chimiques, de la cigarette, mais également du fonctionnement normal de vos cellules.
Pour fonctionner, vos cellules ont besoin de brûler un combustible (le glucose), dans de petites usines électriques appelées mitochondries. C'est cela qui leur fournit de l'énergie pour, par exemple, se contracter dans le cas des cellules musculaires, ou émettre des signaux électriques pour communiquer, dans le cas des cellules nerveuses.
Vos cellules fument
Tout comme un moteur émet toujours un peu de fumée, même s'il est bien réglé, vos cellules « fument » et émettent des radicaux libres lorsqu'elles travaillent, même si vous vivez sainement.
Plus vous faites de sport, plus vous utilisez votre cerveau, plus vous éprouvez d'émotions, bref, plus vous vivez intensément, plus vous fabriquez de radicaux libres.
Et il n'existe qu'un seul moyen, dans l'état actuel des connaissances, d'éliminer les radicaux libres : les antioxydants, des substances qui sont naturellement présentes dans votre corps et dans les fruits et légumes frais, surtout colorés.
Le problème est que vos cellules n'absorbent pas facilement les antioxydants que vous mangez. La plupart restent à l'extérieur de vos cellules et sont éliminés de votre organisme sans avoir détruit le moindre radical libre.
Comment faire pour aider les antioxydants que vous manger à pénétrer dans vos cellules ?
Les prodigieux effets des graisses
Il existe un moyen simple d'augmenter considérablement votre taux d'absorption des antioxydants : manger vos fruits et légumes avec un corps gras. Pas nécessairement du beurre ou de la charcuterie : de nombreux aliments contiennent de bonnes graisses et vous pouvez facilement les manger avec vos fruits ou ajouter à vos plats de légumes : il s'agit des fruits à coque (noix, amandes, noisettes...), de l'avocat (ou l'huile d'avocat), des olives, ainsi que toutes les graines (courge, graines de lin broyées, graines de tournesol).
Dans une étude réalisée avec de l'avocat, les chercheurs ont constaté qu'en consommer en même temps que des crudités dans une salade multiplie :
le taux d'absorption du lycopène par 4 (le lycopène est un antioxydant que l'on trouve dans les tomates) ;
le taux de bêta-carotène par 2,6 (le bêta-carotène est un précurseur de la vitamine A que l'on trouve en abondance dans les carottes et dans une moindre mesure dans les légumes verts à feuille).
L'avocat est très riche en acides gras, mais ce sont de bons acides gras, nécessaires à votre santé.
Lorsque c'est de l'huile d'avocat qui a été ajoutée aux crudités, ils ont constaté une multiplication :
du taux d'alpha-carotène par 7,2 ;
du taux de bêta-carotène par 15,3 ;
du taux de lutéine par 5,1 (la lutéine est un antioxydant rouge-orangé que l'on trouve dans le jaune d'œuf, le maïs, les carottes, les épinard et l'oseille, et qui protège en particulier la rétine).
Un avocat au petit-déjeuner
Les avocats sont aussi une puissante source d'acides gras mono-insaturés qui contribuent à :
contrôler la glycémie (sucre sanguin) ; entretenir la paroi des artères ; réduire l'hypertension artérielle.
J'aime manger un bon avocat au petit-déjeuner. Assaisonné d'un jus de citron et d'un filet d'huile d'olive, avec un œuf à la coque cuit à basse température (eau à 80 °C, pour qu'ils devienne crémeux et non caoutchouteux), une tranche de jambon de pays ou un filet de maquereau, une tasse de thé (sans sucre et sans lait), quelques amandes, noix de Grenoble et une salade de fruits rouges et noirs, cela fait un petit-déjeuner consistant qui me permet de me sentir bien et plein d'énergie toute la journée, en faisant des repas modérés le midi et le soir.
Si vous n'avez pas gros appétit ou si vous faites peu d'activité physique, vous pouvez bien sûr vous contenter d'un demi-avocat le matin, c'est déjà très nourrissant.
Truc pour que vos avocats soient toujours bons
Lorsque vous achetez des avocats dans le commerce, ils sont en général durs comme du bois. Bien sûr, vous parvenez à les faire ramollir en les laissant trainer dans votre corbeille à légumes. Mais la cruelle réalité est qu'alors, bien souvent, d'affreuses tâches noires auront colonisé la tendre chair de l'avocat le jour où vous l'ouvrez. Des fils noirs et filandreux se seront formés à l'intérieur, et ce qui reste de chair sera aqueux et insipide. Rien à voir, donc, avec la texture d'un beau vert amande, onctueuse et fondante, de l'avocat mûr à point qui en fait une des plus grandes merveilles de la Création.
Pour éviter cette déception, il existe un truc simple : emballez vos avocats dans du papier journal dès votre retour du supermarché, et mettez les dans un tiroir ou une armoire bien obscure. Attendez deux ou trois jours et vous aurez le plaisir de manger des avocats comme si vous les aviez cueillis sur l'arbre au bon moment.
Cela paraît tout simple mais il y a une difficulté majeure : ne pas oublier vos avocats. Une fois qu'ils sont bien cachés au fond d'un placard, le risque est de ne remettre la main dessus que... 6 mois plus tard, et croyez-moi, ils ne seront plus bons à manger.
Autres avantages des avocats
A noter que les avocats sont pleins de vitamines très importantes :
la vitamine K est importante pour la coagulation du sang. Elle contribue aussi à la solidité de vos os ;
Les folates, ou vitamine B9, sont importantes pour une bonne reproduction cellulaire et le développement de vos tissus ;
La vitamine E protège les tissus contre les radicaux libres et peut protéger le cœur ;
La lutéine est nécessaire pour protéger les yeux et la peau ;
La vitamine C renforce le système immunitaire et neutralise les radicaux libres ;
La vitamine B6 renforce elle aussi le système immunitaire, aide aux fonctions nerveuses et à la synthèse des globules rouges.