CONSEIL SUR LES PLANTES

Ginseng prouvé à prolonger la vie chez les hommes:

Retour dans les années 1960 et 1970, le ginseng a fait fureur pour l'énergie et l'endurance, la prévention des maladies et l'augmentation de la libido. D'une certaine manière il disparu de l'ouest de sensibilisation à la santé naturelle et l'intérêt des consommateurs. Mais l'histoire de la capacité de ginseng à inculquer l'énergie, l'endurance, la libido et la longévité remonte il y a quatre ou cinq mille ans dans la médecine chinoise. Maintenant, une nouvelle vague d'intérêt pour la recherche ginseng peut re-dynamiser la sensibilisation du public de ginseng. Ginseng est souvent étiqueté Panax ginseng à des essais et de tests, mais tout ce qui indique le genre botanique Panax ginseng qui est une espèce. Et le genre Panax appartient à la araliaceae de famille de plante. Selon la plupart des botanistes, le ginseng de Sibérie est dans la même famille, mais pas de la même Panax genre. Mais herboriste Chris Degussa estime qu'il est moins cher, ginseng adaptogène complète (selon ses besoins) et une grande, naturelle performance athlétique activateur que beaucoup des coureurs professionnels dans l'utilisation de la piste.

Si vous passez en revue toutes les études complètement, la plupart des recherches utilise Panax ginseng CA Meyer, nommé d'après le botaniste / explorateur CA Meyer.

Quelques échantillons de recherche
Une vaste étude épidémiologique coréen à long terme (enquête statistique) publié en 2009 Journal de médecine alternative et complémentaire a été mis en place pour déterminer s'il y avait une association avec le ginseng consommation et de la mortalité ou de la longévité. Cette étude coréenne a commencé en 1985 avec 6282 sujets âgés de 55 ans et plus. Parmi eux étaient de sexe masculin et féminin ginseng utilisateurs et non-utilisateurs. L'étude a été achevée à la fin de 2003, et toutes les mesures statistiques pour ce type d'étude ont été utilisées pour éliminer les variables pertinentes. Le résultat a montré une réduction significative de la mortalité toutes causes (décès toutes sources confondues) chez les hommes, mais pas les femmes. Toutefois, les femmes qui ont utilisé le ginseng ont connu une réduction significative de la mortalité par cancer.

A Chinese étude sur des souris a été mis en place pour déterminer les effets de Panax ginseng polysaccharide (PGP) sur le métabolisme énergétique et la protection mitochondrial. Ces deux mécanismes, en particulier la protection des mitochondries, de promouvoir anti-vieillissement ou de la longévité . Cette étude a été publiée en 2009 dans le Journal américain de la médecine chinoise. L'essai a montré que PGP inhibée blessure mitochondriale et le gonflement d'une manière dépendante de la concentration dose, améliorant ainsi la production de l'adénosine triphosphate (ATP), l'adénosine di phosphate (ADP) et l'adénosine mono phosphate (AMP), tous des éléments essentiels pour l'énergie métabolique cellulaire. Panax ginseng polysaccharide (PGP) a également inhibé la formation de malondialdéhyde (MDA), un composé produit par le stress oxydatif, en les cerveaux des souris de l'étude. Cette propriété semble offrir un moyen de dissuasion de la démence liée à l'âge.

Une autre étude, qui a été plus d'un examen et rapport, de l'Université de Boston a été publiée en médecine complémentaire et alternative fondée sur les preuves en 2009 (tout l'année pour les études ginseng). Ils ont indiqué que bien qu'il y ait des preuves de la capacité de ginseng à augmenter la production d'insuline, diminue la mort des cellules bêta du pancréas et diminuer la glycémie chez les diabétiques de type 2 patients, sans comprendre entièrement la mécanique de la façon dont cela se produit empêche la normalisation pour les applications médicales pratiques pour le traitement du diabète. Le groupe de Boston évoque la nécessité de poursuivre les recherches pour mieux déterminer les mécanismes des effets du ginseng sur l'hyperglycémie pour déterminer les applications pratiques pour les diabétiques. Opinion: Le libellé exact de ce rapport suggère qu'il peut y avoir un effort pour comprendre comment synthétiser un composé qui imite les propriétés du ginseng à breveter comme médicament. C'est ce que la recherche médicale est souvent sujet.

En général, la plupart des herboristes recommandent de prendre le ginseng pendant deux à trois semaines avec des intervalles non-dose d'une semaine. Alors que certains médecins de médecine chinoise recommandent la prise de ginseng par jour sans interruption, d'autres suggèrent ne vont jamais au-delà de trois mois avec un apport quotidien régulier. Et bien sûr, il y a une contre-indication négative quelques mises en garde et applications synergiques positifs on devrait connaître. M. Ginseng explique en grande partie à la source.
Après avoir lu ceci, vous ne regarderez plus JAMAIS une banane de la même manière!!!



LA BANANE
Les bananes contiennent 3 sucres naturels: sucrose, fructose et glucose combiné avec des fibres, une banane donne instantanément un gain d'énergie substantiel. Les recherches ont prouvé que juste 2 bananes fournissent assez d'énergie pour un entraînement rigoureux de 90 minutes. Pas étonnant que la banane soit le fruit numéro 1 du monde des athlètes. Toutefois l'énergie n'est pas la seule façon dont la banane peut vous aider à garder la forme. Elle peut également aider à guérir ou prévenir un nombre incalculable de maladies, intégrez-la à votre régime alimentaire quotidien.

Dépression:
Selon un récent sondage produit par MIND auprès de gens souffrant de dépression, plusieurs se sentent beaucoup mieux après avoir mangé une banane. Cela parce que la banane contient du tryptophane, un genre de protéine que le corps converti en sérotonine, connu comme relaxant, améliore votre état émotionnel et vous fait généralement sentir plus heureux. Oubliez les pilules -- mangez une banane. La vitamine B6 qu'elle contient régularise le niveau de glucose dans le sang, lequel peut affecter votre état émotionnel.

Anémie:
Élevée en fer, la banane peut stimuler la production d'hémoglobine dans le sang aidant à diminuer l'anémie.

Pression:
Ce fruit tropical unique est extrêmement élevé en potassium toutefois faible en sel, le rendant parfait pour combattre la pression. Tellement, que l'administration "US Food and Drug" vient tout juste d'accorder à l'industrie de la banane le droit de déclarer la propriété qu'a ce fruit de réduire le risque de pression et de crise cardiaque.

Pouvoir de concentration :
La recherche démontre que le fruit élevé en potassium peut aider à l'apprentissage en rendant les pupilles plus alertes.

Constipation:
Élevée en fibres, inclure la banane dans votre alimentation quotidienne peut aider la régularité, sans avoir besoin de laxatifs.

Gueule de bois :
Une des façons les plus rapides de guérir une gueule de bois est de se faire une barbotine à la banane, sucrée au miel. La banane calme l'estomac et avec l'aide du miel, fait grimper le niveau de sucre dans le sang, pendant que le lait calme et hydrate votre système.

Brûlement d'estomac :
La banane contient un antiacide naturel, donc si vous souffrez de brûlements d'estomac, essayez de manger une banane pour calmer la douleur.

Nausées matinales :
Prendre une banane comme collation entre les repas aide à garder et stabiliser le niveau de sucre dans le sang et ainsi éviter les nausées matinales.

Piqûres de maringouin :
Avant d'attraper la bombonne d'insecticide, commencez par frictionner la région affectée avec l'intérieur d'une pelure de banane. Plusieurs personnes ont été étonnées par le succès de cette méthode à réduire l'enflure et l'irritation. Nervosité :Élevée en vitamines B, la banane aide à calmer le système nerveux.

Obésité :
Études effectuées par l'Institut de Psychologie en Autriche ont démontré que le stress au travail amène les gens à se gaver de chocolat, bonbons et croustilles. Après vérification auprès de 5,000 patients d'hôpitaux, les chercheurs en sont venus à la conclusion que les gens obèses avaient un emploi plus stressant. Le rapport conclu que, pour éviter des rages de sucré / salé, nous devons contrôler notre niveau de sucre dans le sang et en prenant des collations élevées en hydrates de carbones toutes les 2 heures permet de le garder stable.

Ulcères :
La banane est utilisée dans les diètes pour combattre les problèmes intestinaux. C'est le seul fruit cru qui peut être mangé sans inconfort pour ces genres de cas. Elle protège également l'estomac en neutralisant l'hyperacidité et réduisant l'irritation.

Contrôle la température :
Plusieurs cultures voient la banane comme un fruit rafraîchissant pouvant baisser autant la température physique qu'émotionnelle des femmes enceintes. En Thaïlande, par exemple, les femmes enceintes mangent des bananes pour s'assurer que leur bébé naisse avec une faible température.

Désordre Affectif Saisonnier (DAS):
La banane peut aider les gens souffrant de DAS car elle contient du tryptophane, qui est un relaxant
émotionnel naturel.

Fumeur :
La banane peut également aider les gens voulant arrêter de fumer. Le B6, B12 qu'elle contient, de même que le potassium et magnésium s'y retrouvant, aide le corps à récupérer des effets de manque de nicotine.

Stress:
Le potassium est un minéral vital, lequel aide à normaliser le pouls, envoie de l'oxygène au cerveau et régularise la rétention d'eau. Lorsque vous êtes stressé, votre métabolisme augmente, réduisant votre niveau de potassium. Ceci peut être calibré avec l'aide d'une collation élevée en potassium telle qu'une banane.

Crise cardiaque :
Selon une recherche effectuée par "The New England Journal of Médicine," manger des bananes régulièrement peut réduire le risque de décès par crise cardiaque d'environ 40%!

Verrues :
Ceux qui n'utilisent que la médecine naturelle jurent que si vous voulez vous débarrasser d'une verrue, prenez un morceau de peau de banane et placez-la sur la verrue, le côté jaune vers le haut. Maintenez la peau en place avec un "plaster" ou un ruban chirurgical!

Donc, la banane est vraiment un remède naturel pour beaucoup de maladies. Lorsque vous la comparez à une pomme, elle contient 4 fois plus de protéines, 2 fois la quantité d'hydrate de carbone, 3 fois plus de phosphore, 5 fois plus de vitamine A et fer, et 2 fois des autres vitamines et minéraux. Elle est également riche en potassium et est l'un des aliments les plus nutritifs.


Tisane d'ortie (infusion d'ortie)

Utilisation : grâce à son effet diurétique, contre les cystites et pour prévenir les calculs urinaires et rénaux, contre le rhume des foins, contre la goutte.

1. INGREDIENTS
Pour une tasse de tisane d'ortie, utilisez :

2 cuillers à café (1.5 gr) des *feuilles d'ortie (notre photo)

Environ 200 ml d'eau
* On peut trouver les feuilles d'ortie en vente au détail en pharmacie (aussi en droguerie en Suisse ou en herboristerie en France) ou dans la nature de préférence au printemps.

2. PREPARATION
Chauffez l'eau à ébullition puis ajoutez cette eau bouillante aux feuilles d'ortie
Laissez infuser une dizaine de minutes (afin d'obtenir une dose efficace en substances actives)

3. POSOLOGIE
Buvez une tasse plusieurs fois par jour (jusqu'à 8 fois)
EFFETS / INDICATIONS
Effets :
En usage interne (à avaler, en tisane ou comprimé) :
Diurétique, galactogogue, antirhumatismal, léger effet anti-allergique (dans le rhume des foins)
En usage externe (à appliquer, en lotion ou autre solution) :
Tonique, astringent, hémostatique.
Indications :
En usage interne (principalement en tisane) :
Affections des voies urinaires, cystites, comme draineur, rhume des foins,goutte, prévention de calculs urinaires et rénaux
En usage externe (à appliquer en lotion ou autre solution) :
Soins cosmétiques par exemple pour les cheveux : traite la chute des cheveux, favoriserait la repousse ainsi que contre les pellicules et cheveux gras, rhumatismes : arthrite, arthrose, goutte.

EFFETS SECONDAIRES / CONTRE-INDICATION / INTERACTIONS
Effets secondaires : aucun connu (à notre avis) Contre-indication : attention, l'effet diurétique n'est pas conseillé en cas de certaines maladies cardiaques ou problèmes d'oedème. Pour toute question de diagnostic demandez conseil à votre médecin ou pharmacien.


Le radis, rose ou noir, du piquant et de la détox…

Désintoxiquant, régénérateur du foie et draineur des reins, le radis convient particulièrement bien dans l'ictère, les arthrites chroniques, les névrites et sciatiques, l'obstruction des voies respiratoires, les états congestifs.

Les radis font parties de la famille des crucifères dont les propriétés préventives contre certains cancers sont parfaitement établies, mais ils ont encore plus à offrir.

Cette famille est riche en nutriments tels que les indoles, les phénols et des flavonoïdes. Les crucifères, choux ou radis, protègent les cellules notamment en les empêchant de muter.
Ils contiennent une bonne quantité de potassium, magnésium, de calcium, de vitamine A et de vitamines du complexe B.

Les radis sont riches en souffre, en magnésium et une précieuse essence sulfurée qui lui confère des propriétés antiseptiques, apéritives et pectorales, qui aide notamment à fluidifier les sécrétions des bronches et des sinus.

Ils ont également une action antibactérienne dans les affections des voies respiratoires.
La richesse en vitamine C des radis en fait un excellent antiscorbutique. C'est aussi un des rares légumes à contenir de bonnes proportions d'iode.

Désintoxiquant, régénérateur du foie et draineur des reins, le radis convient particulièrement bien dans l'ictère, les arthrites chroniques, les névrites et sciatiques, l'obstruction des voies respiratoires, les états congestifs.
Il aide l'organisme à éliminer de nombreuses toxines par l'action de divers éléments, dont les glucoraphasatines, qui stimulent l'activité d'enzymes responsables de la désintoxication.
Toutes ces propriétés s'appliquent au radis roses tout comme au radis noir, mais elles sont plus marquées chez ce dernier qui est particulièrement recommandé pour la confection d'un sirop, que l'on peut consommer à volonté, pour lutter contre le rhume, la bronchite et les maladies de la vessie.

Un sirop efficace contre la toux
Ce sirop se prépare en coupant un radis noir en rondelles; ensuite placer une couche de radis coupés au fond d'un récipient creux, ajouter une couche de sucre de canne, ensuite une nouvelle couche de rondelles de radis, une autre de sucre, etc. Recueillir le jus qui s'écoule.
Le jus de radis noir est efficace pour stimuler les contractions de la vésicule biliaire, de l'estomac et des intestins. On le recommande en cure dans les cas d'insuffisance hépatique et de constipation.

Radis noir et vésicule biliaire
Il est souvent utilisé dans les cas de calculs biliaires, mais attention: si le radis noir est efficace pour prévenir les calculs de la vésicule biliaire, il ne faut pas consommer de radis noir, sous aucune forme, en cas de présence de ces calculs ou d'obstruction des voies biliaires. cela pourrait provoquer une irritation ou inflammation de la muqueuse gastrique ou favoriser une obstruction du canal biliaire.

On peut consommer les radis en crudités dans les salades, ou dans la soupe. On peut également consommer les feuilles du radis, elles favorisent la digestion de ce légume.

Petite précaution:
Si le radis est un excellent aliment santé, il faut cependant se méfier de ne pas en consommer en excès, la stimulation du foie, de la vésicule biliaire et des reins pouvant alors se transformer en irritation de ces organes et du système digestif en général.


CANNELLE ET MIEL
Il est constaté qu'un mélange de miel et de cannelle guérit la plupart des maladies. Le miel est produit dans la plupart des pays du monde. Les scientifiques d'aujourd'hui ont aussi noter que le miel comme médicament est très efficace pour toutes sortes de maladies. Le miel peut être utilisé sans effets secondaires. Même si le miel est doux, quand il est pris dans le dosage d'un médicament, ne nuit pas aux patients diabétiques.

MALADIES CARDIAQUES:
Faites une pâte de miel et de cannelle en poudre, le mettre sur un toast au lieu de la gelée et de la confiture et mangez en régulièrement pour le petit déjeuner. Il réduit le taux de cholestérol et pourrait potentiellement sauver d'une crise cardiaque. . L'utilisation régulière de cannelle miel renforce les battements du coeur. En Amérique et au Canada, les maisons de soins infirmiers ont traités des patients avec succès et ont trouvé, qu'en vieillissant, les artères et les veines perdent leur flexibilité et s'obstruent ; miel et la cannelle revitalisent les artères et les veines.

ARTHRITE:
Les patients arthritiques peuvent bénéficier en prenant une tasse d'eau chaude avec deux cuillères à soupe de miel et une petite cuillère à café de cannelle en poudre. Lorsqu'il est pris quotidiennement, même l'arthrite chronique peut être guérie. Dans une récente recherche menée à l'Université de Copenhague, il a été constaté que, lorsque les médecins traitent leurs patients avec un mélange d'une cuillère à soupe de miel et de cannelle en poudre demi cuillère à café avant le petit déjeuner, ils ont constaté que moins d'une semaine après(sur les 200 personnes ainsi traitées) pratiquement 73 patients étaient totalement soulagés de la douleur - et dans le mois, la plupart des patients qui ne pouvaient pas marcher ou se déplacer à cause de l'arthrite commençait à marcher sans douleur.

VESSIE INFECTIONS:
Mettre deux cuillères à soupe de cannelle en poudre et une cuillère à café de miel dans un verre d'eau tiède et boire. Cela détruit les germes dans la vessie ....

CHOLESTÉROL:
Deux cuillères à soupe de miel et trois cuillères à café de cannelle en poudre mélangé dans 16 onces d'eau du thé réduisent le niveau de cholestérol dans le sang de 10 pour cent en deux heures. Comme mentionné pour les patients arthritiques, pris trois fois par jour, une chronique de cholestérol pourraient être guéris. Selon les informations reçues dans ce journal, le miel pur pris avec de la nourriture soulage le cholestérol.

RHUME:
Ceux qui souffrent d'un rhume commun ou sévère devrait prendre une cuillerée à soupe de miel tiède avec 1/4 cuillère de cannelle en poudre par jour pendant trois jours. Ce processus permettrait de remédier plupart des toux chroniques, le froid, et libère les sinus, et c'est délicieux aussi! Maux d'estomac: Le miel pris avec de la cannelle en poudre guérit des maux d'estomac et est également indiqué pour les ulcères d'estomac.

GAZ:
Selon les études réalisées en Inde et au Japon, il est révélé que lorsque le miel est pris avec de la cannelle en poudre, l'estomac est soulagée de gaz.

SYSTÈME IMMUNITAIRE:
L'usage quotidien du miel et de la cannelle en poudre renforce le système immunitaire et protège le corps contre les attaques bactériennes et virales. Les scientifiques ont constaté que le miel contient diverses vitamines et du fer en grandes quantités. L'utilisation constante de miel renforce les globules blancs (où l'ADN est contenu) pour lutter contre les maladies bactériennes et virales.

INDIGESTION:
Saupoudré de cannelle en poudre sur deux cuillères à soupe de miel avant de prendre la nourriture cela soulage l'acidité et permet une digestion des plus lourds des repas

GRIPPE:
Un scientifique en Espagne a prouvé que le miel contient un naturel «ingrédient» qui tue les germes de la grippe et guérit le patient de la grippe.

LONGÉVITÉ:
Un thé fait avec du miel et de la cannelle en poudre, si pris régulièrement, arrête les ravages de la vieillesse. Utilisez quatre cuillères à café de miel, une cuillère à café de cannelle en poudre et trois tasses d'eau bouillante pour faire un thé. Buvez 1/4 de tasse, trois à quatre fois par jour. Il maintient la peau fraîche et douce et de l'âge arrestations ancienne.

GORGE rauque ou SORE:
Quand la gorge est un chatouillement ou est rauque, prenez une cuillère à soupe de miel et buvez jusqu'à ce parti. Répéter toutes les trois heures jusqu'à ce que la gorge soit sans symptômes.

ACNÉS:
Trois cuillères à soupe de miel et une cuillère à café de cannelle en poudre pâte. Appliquer cette pâte sur les boutons avant de dormir et lavez le lendemain matin à l'eau tiède. Quand cela est fait tous les jours pendant deux semaines, il supprime tous les boutons à la racine.

MALADIES DE LA PEAU:
Appliquer le miel et la cannelle en poudre en parts égales sur l'eczéma et sur tous les types d'infections de la peau.

PERTE DE POIDS:
Quotidiennement le matin une demi-heure avant le petit déjeuner dans un estomac vide, et le soir avant de dormir, boire du miel et la cannelle en poudre bouilli dans une tasse d'eau. Lorsqu'ils sont pris régulièrement, cela réduit le poids . Aussi, boire régulièrement ce mélange permet de ne pas accumuler de la graisse dans le corps.

CANCER:
Des recherches récentes au Japon et en Australie ont révélé que le cancer avancé de l'estomac et les os ont été soignés avec succès. Les patients souffrant de ces types de cancer devraient prendre quotidiennement une cuillerée à soupe de miel avec une cuillère à café de cannelle en poudre trois fois par jour pendant un mois.

FATIGUE:
Des études récentes ont montré que la teneur en sucre du miel est plus utile, plutôt que d'être préjudiciable à la force du corps. Les personnes âgées qui prennent le miel et la cannelle en poudre en parts égales sont plus éveillés et plus souple. Le Dr Milton, qui a effectué des recherches, dit une cuillère à soupe et demie de miel prise dans un verre d'eau et saupoudrée de cannelle en poudre, même lorsque la vitalité de l'organisme commence à diminuer, lorsqu'il est pris quotidiennement après le brossage et l'après-midi à environ 3:00 PM, augmente la vitalité de l'organisme.

MAUVAISE HALEINE:
Les gens de l'Amérique du Sud, se gargariser avec une cuillère à café de poudre de miel et de cannelle mélangés dans l'eau chaude.


EXTRAIT DE PÉPINS DE PAMPLEMOUSSE : CETTE ANTIBIOTIQUE NATUREL SERA-T-IL VICTIME DE SON SUCCÈS ?

L’extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est considéré depuis une quinzaine d’années comme le meilleur antibiotique naturel. Et l’on a raison de le considérer comme tel. Depuis les travaux du Dr Jacob Harich qui l’ont popularisé dans les années 80/90, on n’a pas trouvé mieux. Cette histoire serait merveilleuse si le succès de cette médication n’avait rapidement attiré des escrocs et des margoulins de toutes espèces à l’affût d’un marché juteux...

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique
Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :
·  Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires…
·  Les ulcères de l’estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
·  Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
·  Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques …
·  Les infections urinaires et cystites.
·  La fatigue chronique et l’affaiblissement immunitaire.
·  Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
En usage externe, l’EPP est aussi un recours dans bien des situations :
·  La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite…
·  La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d’insectes, verrues, mycoses…
·  Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux…
·  Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
·  Les ongles : onychomycose, panaris.
·  Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites…

Pourtant, à l’expérience, il y a de quoi douter
Malgré la réputation justifiéee de l’EPP, il m’est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses vertus. Pendant longtemps, j’ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma fille et je ne constatais aucun effet. J’ai ainsi tenté de guérir des rhumes, je l'ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais rien… Peut-être cela vous est-il arrivé aussi !

Un jour pourtant, j’ai trouvé un produit qui semblait fonctionner. J’en ai appliqué sur une piqure d'araignée qui s'infectait… Et là, ça m’a d'abord chatouillé fort puis tout a disparu. Alors j'ai compris qu'il y avait différentes qualités d'EPP et je me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ?

On n’y comprend plus rien sur les étiquettes
Pas facile de s’y retrouver. Les dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s’avèrent très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien dangereux.

Sur les étiquettes, on lit parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou encore « à base de pépins et d’écorces »ou « de pépins et de pulpe »…
Quant à la fabrication, le plus souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l’on trouve même de l’EPP sous forme de comprimés ou à usage cosmétique.

De nombreuses fraudes signalées
À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n’étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d’entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d’antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000.

Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n’importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !

Une légende merveilleuse... bien qu'écornée
Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis,  jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique…
Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l’EPP, seul, n’avait aucune activité antibactérienne (2).
Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l’EPP et il s’agissait bien d’un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.

D’ailleurs, les cultivateurs bio font grand usage de l’EPP
La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l’utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d’infections à champignons, on s’en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles…).

Alors si la méfiance s’impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l’EPP reste un excellent produit qu’il faut simplement savoir bien choisir.

Des études rassurantes... enfin !
Les troublantes constatations d’une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l’ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l’EPP n’a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l’Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).

L’étude citée plus haut a ainsi confirmé que l’action de l’EPP s’étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L’extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes.

Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l’EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l’ensemble de la flore s’en trouve améliorée.

Intéressons-nous au procédé de fabrication industriel standard
L’EPP est normalement produit à partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous ou Citrus maxima.
Le plus souvent, on vous propose un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d’une extraction à sec. Grosso modo :
·  Les pépins sont séchés et réduits en poudre.
·  Cette poudre est ensuite dissoute dans de l’eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et la pectine).
·  Une autre opération de séchage permet d’obtenir une poudre concentrée.
·  Ce concentré est mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l’eau puis chauffé sous haute pression.
·  Puis il est refroidi, filtré et traité aux U.V.

Américains ou Chinois fournissent les marchands
Mais dans les faits, on ne sait pas comment est précisément fabriqué l’EPP. Car la réalité, c’est que si l’on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais fabricants dans l’Hexagone : la matière première est le plus souvent importée sous forme liquide. D’où vient-elle ? Les principaux fabricants sont américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable), allemands.
Difficile de vérifier la qualité de l’extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n’importe quel pamplemousse… Et ça, les marchands d’EPP concernés se gardent bien de nous le dire.

En plus, l’EPP est maintenant au centre d’une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà décidément une histoire à rebondissement…

La guerre des bioflavonoïdes
Même si certains fabricants font valoir des procédés d’extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque.
C’est ainsi que la norme est d’utiliser 20% en moyenne d’extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit.

Comment expliquer alors que l’on trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ? C’est à qui proposera le plus…

Les petits calculs des marchands d’EPP
Tout dépend en fait de la méthode de mesure utilisée.
Il existe en effet deux techniques d’analyse quantitative des molécules :
- la chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.
- le test U.V. (l’absorption U.V. visible).

Or le même extrait donnera pas exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3 fois plus.

Si l’on vous annonce 1 200 mg, c’est que l’on a utilisé la méthode d’analyse U.V., 3 fois plus avantageuse dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l’extrait et pas seulement les bioflavonoïdes.
Ainsi, un EPP titré à 800 mg selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de bioflavonoïdes.

A moins que l’on ait rajouté artificiellement des flavonoïdes (d’où viennent-ils ?) dans le produit, ou l’écorce ou le péricarpe (l’enveloppe superficielle du fruit), ce qui se pratique aussi allègrement.

Autant vous le dire tout de suite : cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l’extrait de pépin se suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.

Quant au péricarpe, rien n’indique qu’il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui m’échappent, on m’explique qu’il permet d’obtenir plus facilement la mention bio…
Faut-il préférer le bio ?
Faut-il privilégier un EPP bio ? Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces d’intrants. Mais l’on en paiera le prix, pour une différence qui, en l’espèce, n’est pas déterminante.

Car la meilleure filière qui soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus paradisi provenant d’Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement accéder à un label.

Alors comment choisir sans se tromper ?
Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :

·  la traçabilité du produit : assurez-vous qu’il s’agit bien de pépins de Citrus paradisi.
·  Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
·  Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
·  Vérifiez qu’il n’y ait aucun additif autre qu’un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
·  Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l’EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l’étranger.
Enfin des formules fiables !

A force de chercher la meilleure formule possible, j’ai fini par en trouver une - ce qui n'exclut pas, bien entendu, qu'il y en ait d'autres. Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés ci-dessus mais en plus, elle est issue d’une fabrication française, assez rare, basée sur une macération et non sur une poudre de pépins.

Les pépins importés d’Asie, entiers, sont mis en macération dans un mélange d’eau et de glycérine à raison de 20 g de pépins pour 100 ml. A travers des opérations de macération successives, on extrait ainsi l’ensemble des principes actifs et « non actifs » (ou considérés comme tels) du pépin et on obtient un produit concentré huileux naturellement titré à 400 mg de bioflavonoïdes. A ce taux là, on estime que l’action est déjà optimum.
Au final, avec cet EPP basé sur le totum, notre organisme bénéficie de tous les principes du pépin : il filtrera ce dont il aura réellement besoin et éliminera le reste.

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Tout est entièrement naturel dans ces EPP, excepté bien sûr le conservateur, qui peut être du sorbate de potassium par exemple, inoffensif. La fabrication est, de fait, contrôlée de A à Z. Ce type de produit ne court pas les rayons des boutiques mais il en existe bel et bien chez certains petits laboratoires.

Passez un hiver tranquille !
N’hésitez pas à préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d’EPP. L’authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées.

C’est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s’adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes.

Les dangers du pamplemousse
De nombreux lecteurs m'écrivent pour me demander si vraiment, un fruit aussi sain que le pamplemousse peut être dangereux pour la santé.
Depuis plusieurs mois en effet, les médias mettent en garde les populations contre les interactions du pamplemousse avec certains médicaments.

Ma réponse est un grand OUI !
Les risques du pamplemousse sont majeurs, avec de nombreux médicaments. Les effets indésirables de ces médicaments peuvent être multipliés par 20 par un simple verre de jus de pamplemousse, avec des conséquences potentiellement fatales.

Voici pourquoi, et voici comment vous protéger :
Le pamplemousse bloque la métabolisation de certains médicaments
Lorsque vous avalez un médicament, celui-ci passe dans votre sang puis il est utilisé par votre organisme : des enzymes vont « digérer » le médicament pour le transformer en substances utilisables par vos cellules, qui vont l'absorber, le « consommer », puis rejeter des déchets par les urines.

Le problème est que le pamplemousse contient des produits actifs appelés furanocoumarines, qui bloquent de façon irréversible un de nos enzymes, le CYP3A4.

Or, cet enzyme CYP3A4 est précisément celui qui sert à assimiler de nombreux médicaments contre le cancer, l'hypertension, les problèmes cardiovasculaires, les problèmes urinaires, ainsi que des médicaments immunodépresseurs (qui affaiblissent le système immunitaire) et des anti-infectieux, des analgésiques (antidouleur) et des tranquillisants (la liste de ces médicaments est à la fin du message).

Voici donc ce qui arrive aux personnes qui prennent du pamplemousse en même temps que ces médicaments :

Leurs médicaments passent dans leur sang et ne sont pas « consommés » comme ils devraient l'être, (en langage médical, on dit « métabolisés »), parce que l'enzyme est bloqué. La concentration sanguine en médicament s'élève, jusqu'à atteindre l'overdose, avec des effets graves incluant « mort subite, blocage rénal aigu, arrêt de la respiration, saignements gastro-intestinaux, destruction de la moelle osseuse chez les personnes ayant un système immunitaire affaibli. » (1)

« Prendre un comprimé avec un verre de jus de pamplemousse est comme prendre 20 comprimés avec un verre d'eau », explique David Bailey, le pharmacologue canadien qui a découvert ce phénomène il y a 20 ans, et qui s'est spécialisé dans l'étude des interactions entre médicaments et pamplemousse. « Il s'agit d'overdose accidentel. » (2) Des études avaient en effet déjà indiqué que boire un verre de 200 mL de pamplemousse par jour, trois jours de suite, provoque une hausse de 330 % de la concentration sanguine de simvastatine, un médicament très couramment prescrit contre le cholestérol, par rapport à un verre d'eau.

85 médicaments concernés
Malheureusement, il existe de plus en plus de médicaments qui sont métabolisés par l'enzyme CYP3A4 – et dont la métabolisation est donc bloquée par la consommation de pamplemousse.

La liste est passée de 17 médicaments en 2008 à 43 en 2012 !

Le risque d'accident s'est donc considérablement élevé, et justifie aujourd'hui que chacun veille à ce que les médicaments qu'il prend ne soient pas incompatibles avec le pamplemousse.

Ceci est d'autant plus important que l'effet se produit même avec des petites doses, que le pamplemousse soit consommé tel quel ou sous forme de jus.

Les personnes de plus de 45 ans compensent moins bien les concentrations excessives de médicaments dans le sang, et sont donc particulièrement vulnérables, surtout que ce sont elles qui consomment en général le plus de pamplemousses.

Comment vous prémunir
Si vous ne prenez aucun médicament, pas de problème, vous pouvez continuer à vous régaler de ce fruit délicieux. Si vous prenez des médicaments, vous n'êtes pas forcément obligé d'arrêter le pamplemousse.

Vous devez savoir que le risque ne concerne que :
- les médicaments pris oralement (par la bouche) ;
-qui ne sont que faiblement ou moyennement absorbés par l'organisme ;
-et qui sont métabolisés par l'enzyme CYP3A4, ou cytochrome P450 3A4, ce que vous pouvez vérifier sur la notice. 
Lorsque c'est nécessaire, la notice des médicaments concernés comprend toujours l'avertissement de ne PAS consommer de pamplemousse simultanément, donc c'est une raison de plus de toujours lire les notices.

BIENFAITS DE L'EAU CITRONNÉE LE MATIN
Commencez la journée avec de l’eau tiède et le jus de citron.
C’est tellement simple et les avantages son très grands :

1. Renforce votre système immunitaire
Les citrons sont riches en vitamine C et en potassium. La vitamine C est idéale pour lutter contre le rhume et le potassium stimule les fonctions cérébrales et nerveuses et aide à contrôler la pression artérielle.

2. Équilibre le pH
Les citrons sont un aliment très alcalin, croyez-le ou non. Oui, ils sont acides par eux-mêmes, mais à l’intérieur de notre corps, ils sont alcalin (l’acide citrique ne crée pas d’acidité dans le corps une fois métabolisé). Comme le savent les « défenseurs » du bien-être, un corps alcalin est vraiment la clé d’une bonne santé.

3. Aide à la perte de poids
Les citrons sont riches en fibres de pectine, ce qui contribue au combat contre les fringales. Il a également été montré que les personnes qui maintiennent un régime alimentaire plus alcalin perdent du poids plus rapidement.

Par expérience, quand on commence la journée du bon pied, il est plus facile de faire les meilleurs choix pour soi-même le reste de la journée.

4. Facilite la digestion
L’eau chaude sert à stimuler le péristaltisme gastro-intestinal et les vagues de contractions musculaires dans les parois intestinales qui gardent les choses en mouvement. Citrons et limes sont également riches en minéraux et en vitamines et aider à décoller les amas ou perdre les toxines dans le tractus digestif.

5. Agit comme diurétique naturel doux
Le jus de citron va stimuler le foie qui va éliminer les toxines, il va aussi aide à éliminer les matières indésirables parce que le citron augmente le taux d’urine dans le corps. Les toxines sont donc libérées à un rythme plus rapide ce qui aide à garder votre système urinaire en bonne santé.

6. Clarifie la peau
La vitamine C contribue à diminuer les rides et les imperfections. L’eau citronnée purge les toxines du sang ce qui aide à garder la peau claire.

7. Hydrate le système lymphatique
Cette « tasse de bonté » permet de commencer la journée sur une note hydratée, ce qui aide à prévenir la déshydratation (évidemment) et la fatigue surrénale. Quand votre corps est déshydraté, ou profondément déshydraté (fatigue surrénale), il ne peut pas exécuter toutes ses fonctions propres, ce qui conduit à l’accumulation de toxines, au stress, à la constipation et la liste continue. Vos glandes surrénales sont deux petites glandes qui se situent au-dessus de vos reins et qui, avec votre thyroïde, créent de l’énergie. Elles sécrètent également des hormones importantes, incluant l’aldostérone. L’aldostérone est une hormone sécrétée par les glandes surrénales et qui régule vos niveaux d’eau et la concentration de minéraux, comme le sodium, dans votre corps, vous aidant à rester hydraté. Vos glandes surrénales sont également responsables de votre réponse au stress.

L’adoption de cette pratique en buvant de l’eau tiède avec du citron le matin, peut modifier radicalement votre expérience de la journée. Ne soyez pas surpris si vous commencez à voir le matin sous un jour nouveau. Comme je l’ai dit, la recette est très simple – une tasse d’eau tiède (pas trop chaude) et le jus d’un demi citron.

Dans les commentaires ci-dessous, dites-moi lequel de ces avantages va vous permettre d’essayer ce rituel du matin. Ou, si vous êtes déjà un junkie de l’eau citronnée, quels avantages spécifiques avez-vous remarqué?


L'ail s'avère 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record

Une découverte significative de l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires.

Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni.

L'ail est probablement l'un des plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche. 
L'ail s'avère 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record

Une découverte significative de l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires.

Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni.

L'ail est probablement l'un des plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche.

« Ce travail me passionne beaucoup parce qu'il montre que ce composé a le potentiel de réduire des bactéries pathogènes de l'environnement et de nos aliments » a dit Xiaonan Lu un chercheur docteur en sciences et auteur principal de l'article.

L'une des découvertes les plus intéressantes est que l'ail augmente le niveau global d'antioxydants dans le corps. Scientifiquement connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries. Louis Pasteur a remarqué en 1858 que les bactéries mourraient quand elles étaient arrosées d'ail. Depuis le Moyen-Âge, l'ail a été utilisé pour guérir les blessures, broyé ou en tranches et appliqué directement sur les blessures pour inhiber la propagation de l'infection. Les russes nomment l'ail, la pénicilline russe.

« C'est la première étape vers un développement ou une réflexion vers de nouvelles stratégies d'intervention », a dit Michael Kokel, co-auteur de recherches sur le Campylobacter jejuni pendant 25 ans.

« Le Campylobacter est une des causes bactériennes les plus fréquentes des toxi-infections alimentaires aux États-Unis et probablement dans le monde » a dit Konkel. Quelque 2,4 millions d'américains sont atteints chaque année d'après le Centre américain de Contrôle et de Prévention des Maladies, avec des symptômes comme de la diarrhée, des douleurs abdominales et de la fièvre.

Les bactéries sont également responsables dans presque un tiers des cas du déclenchement d'une maladie paralysante rare connue sous le nom de syndrome de Guillain-Barré.

Le disulfure de diallyle est un composé organosoufré dérivé de l'ail et de quelques autres plantes de la famille Allium. Il est produit pendant la décomposition de l'allicine libéré quand on écrase l'ail.

Lu et ses collègues ont observé la capacité du disulfure de diallyle à tuer les bactéries quand elles sont protégées par un biofilm visqueux (sécrété par la bactérie, NdT), ce qui les rend 1000 fois plus résistantes aux antibiotiques que les cellules bactériennes flottant librement. Ils ont découvert que le composé peut facilement pénétrer le biofilm protecteur et tuer les cellules bactériennes en se combinant avec un enzyme contenant du soufre, et de ce fait changer la fonction de l'enzyme et bloquer efficacement le métabolisme de la cellule.

Les chercheurs ont découvert que le disulfure de diallyle était aussi 100 fois plus efficace que les antibiotiques appelés érythromycine et ciprofloxacine et qu'il agit souvent en un temps record.

Deux travaux précédents publiés l'an dernier par Lu et ses collègues de l'université en Microbiologie Environnementale et Appliquées et en Chimie Analytique ont montré que le disulfure de diallyle et d'autres composés organo-sulfurés tuaient efficacement des pathogènes d'origine alimentaire tels que le Listéria Monocytogénès et Escherichia Coli O157 : H7.

« Le disulfure de diallyle peut être utile pour réduire le niveau deCampylobacters dans l'environnement et pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation, car on trouve dans les deux cas la bactérie dans le biofilm » a dit Konkel.

« Le disulfure de diallyle pourrait rendre beaucoup d'aliments moins dangereux » a dit Barbara Rasco, co-auteur des trois derniers articles et conseillère de Lu pour son doctorat en sciences alimentaires. « On peut l'utiliser pour nettoyer les surfaces de préparation alimentaire et comme conservateur dans les aliments emballés comme les salades de pâtes et de pommes de terre, les salades de choux et de la charcuterie ».

« Ceci ne prolongerait pas seulement la durée de consommation mais réduirait aussi la croissance de bactéries potentiellement nocives » a-t-elle dit.

La substance naturelle peut aussi être obtenue sans l'introduction artificielle de produits chimiques dangereux qui perturberaient ses capacités de réduction des maladies.

Ironiquement, beaucoup de chercheurs pensent que les antibiotiques peuvent être l'un des nombreux facteurs qui contribuent à obstruer les intestins des jeunes enfants.

Sa renommée a défiée les temps, l'évolution de la médecine. Elle est à la fois curative et préventive. En effet, riche en éléments soufrés, iode, silice, ajoène, etc. L'ail contient aussi de l'allicine qui stimule la circulation sanguine et tue les bactéries. Il est riche en acides animiques, germanium, calcium, cuivre, zinc, potassium, magnésium, sélénium, zinc, vitamines A, B 1 et C, des acides gras essentiels (Vitamine F) et des douzaines de composés antioxydants...

L'ail est :
- antibactérien,
- antiviral,
- antifongique,
- antiparasitaire,
- anti-tumoral,
- antioxydant,
- anti-inflammatoire,
- antiseptique,
- hypoglycémiant,
- vermifuge,
- diurétique,

Des chercheurs ont récemment prouvé que l'ail contient de l'ajoène qui, tout comme l'aspirine, empêche la coagulation du sang et, de ce fait, apporte une meilleure fluiditée et protège le système contre les risques cardiovasculaires. Il diminue la tension artérielle et le taux de cholestérol.
Des études cliniques effectuées dans 15 pays ont démontré que l'ail pourrait freiner l'obstruction artérielle et même faire régresser ce processus selon le cardiologue Arun Bordia, du Tagore Medical College en Inde, propriétés attribuables à la présence d'antioxydants capables de neutraliser les agents responsables de la destruction artérielle. On lui attribue la capacité de réduire les plaques d'athéromes et à prévenir la formation de nouvelles lésions.

L'iode et la silice contenus dans l'ail ont la propriété de dilater les capillaires, ce qui facilite la respiration et diminue les troubles respiratoires.

L'ail est bénéfique pour les personnes souffrant de diabète car à cause de ses propriétés hypoglycémiques : il réduit le taux de sucre dans le sang lorsqu'il est consommé de façon régulière.

L'ail apporte des effets sur le taux de cholestérol sérique, propriété contenue dans l'allicine.
L'allicine est formé d’un acide aminé converti par une enzyme lorsque l'ail est coupé mastiqué et ingéré.
L'allicine se retrouve uniquement dans l'ail cru fraîchement coupé et broyé.

Ail et Cancer : C'est dans le domaine du cancer que l'ail semble remporter ses plus grandes victoires. Selon plusieurs revues médicales (American Chinese Medecine, Science, Journal of Urology), l'ail peut réduire les tumeurs même malignes.
L'ail augmente le taux de combativité du système immunitaire pour protéger notre système, notamment dans certains types de cancer comme celui du sein, de l'estomac, du côlon et de la peau.
Le Dr Benjamin Law, professeur au département de microbiologie de l'Université de Loma Linda, école de médecine de Californie, affirme que l'ail diminue la progression de champignons parasites et aide à détruire les cellules cancérigènes.

Depuis 2007, je l'utilise contre les angines et les picotements à la gorge de cette façon :
Plusieurs gousses d'ails crus broyés dans une purée ou dans une salade, midi et soir, pendant 2 jours maximum.
Certes on a une mauvaise haleine mais c'est Magique.

Composition de l'Ail :
- 64 % d'eau,
- 27,5 % de glucides,
- 6% de protéines,
- 3 % de fibres,
- divers : prostaglandine, acide phénols, phytostéroïdes, polyphénols, flavonoïdes...
- Vitamines (mg par 100g) : B1 (0,2), B2 (0,08), B3 (0,65), B5 (0,6), B6 (1,2), C (30), E (0,1), A...
- Minéraux (mg par 100g) : Potassium (446), Souffre (200), Phosphore (144), Calcium (38), Magnésium (21), Sodium (10), Chlore (30)...
- Oligo élements : Fer (1,4), Zinc (1), Manganèse (0,46), Bore (0,4), Cuivre (0,15), Nickel (0,01), Molybdène (0,07), Iode (0,003), Sélénium (7 à 20 ppm).


CURCUMA
(cet article est une ébauche.. tellement il y aurait à dire sur cet épice « des Dieux » .. ! )
Le curcuma : une épice aux nombreux bienfaits pour la santé.
Une plante de la famille des zingibéracées (proche cousin du bananier).
Elle est originaire d' Asie (Inde).
Il est aujourd'hui cultivé en Indonésie, Japon, Chine...

A la Réunion, cette épice porte le nom de "safran pays" alors qu'il n'a rien à voir.
Nom botanique: curcuma alismatifolia,curcuma leucorhizza pour les variétés ornementales.
Il en existe au moins trente variétés ne dépassant pas 80 centimètres.
Parmi ces variétés on en compte au feuillage panaché (de blanc: c. petiolata 'Variegata', aux tiges rouges: c. Rubescens)
C'est une plante à rhizome dont on extrait le condiment.
Son feuillage est caduc.
On la cultive comme plante vivace à repos hivernal en pot ou au jardin en massif.
Son rhizome ne supporte pas le gel.

DES BIENFAITS INNOMBRABLES :
En médecine Ayurvédique, le curcuma est utilisé depuis des millénaires pour traiter les affections à
caractère inflammatoire.. Il fait partie intégrante de leurs plats végétariens quotidiens.
Sous forme d'épice ou d'huile essentielle, le curcuma protège du cancer, de la maladie d'Alzheimer, stimule la digestion et soulage le psoriasis…
Connu depuis l'Antiquité, le curcuma est une plante herbacée qui décore de plus en plus nos intérieurs. En outre cette plante est pourvue d'un rhizome charnu, ressemblant au gingembre. Réduit en poudre, il ne se contente plus de colorer le curry : grâce à la curcumine, les applications du curcuma sont nombreuses, il recèle et révèle des bienfaits thérapeutiques intéressants et reconnus.

Les vertus thérapeutiques du curcuma :
Antioxydant de premier plan dans la lutte contre le vieillissement ;
Anti-inflammatoire puissant, efficace dans les inflammations articulaires, respiratoires, intestinales,
digestives, ... ;
Protection du foie grâce à son action tonique favorisant l'élimination de la bile ;
Prévention de la maladie d'Alzheimer ;
Antiviral et antimicrobien puissant, très utile pour soulager les maux hivernaux : grippe, rhume, maux de gorge, ... ;

Anti-cancer précieux, la curcumine prévient et freine le développement de certains cancers. L'Inde, grand consommateur de curcuma, présente un taux très faible de cancer du colon ;
Prévention des maladies cardio-vasculaires en agissant sur le mauvais cholestérol et en fluidifiant le sang, le curcuma aide au maintien de la santé des artères ;
Combat les inflammations de la peau et est un cicatrisant puissant ;
Anti-douleur utile dans les suites d'opérations et dans les désagréments dus au cycle féminin;

Usage interne de la poudre de curcuma
Pour bénéficier au maximum des effets de la curcumine, préférez le curcuma bio. Il est utile d'en
consommer quotidiennement au minimum 1/2 cuillère à thé. La saveur du curcuma étant subtile, il est facile d'en ajouter à de nombreux plats.

Les bienfaits du curcuma, employé seul, sont mal assimilés par notre organisme, il est nécessaire de l'associer à du poivre noir qui contient de la pipérine ce qui permet d'augmenter considérablement
l'absorption de la curcumine. Au même titre, l'association avec de l'huile d'olive ou de colza, de l'ananas et/ou du gingembre favorise l'assimilation de la curcumine.

COMME ANTI-INFLAMMATOIRE
L’action anti-inflammatoire du curcuma est comparable à celle de la cortisone, de la phénylbutazone
(utilisée dans le traitement de l’arthrite rhumatoïde) et des anti-inflammatoires non-stéroïdiens. Il semble que le curcuma agisse en inhibant des enzymes qui participent à la synthèse des substances inflammatoires - elles-mêmes dérivées de l’acide arachidonique - comme les prostaglandines E2 et les leucotriènes. On pense qu’il diminue le relâchement des médiateurs chimiques des cellules et des neutrophiles. Il semble également augmenter l’effet du cortisol sur les cellules ou peut être même prolonger la demie-vie de ce dernier et/ou en diminuer sa dégradation hépatique.
Lorsque le curcuma est associé à des acides gras essentiels, ils se potentialisent mutuellement dans leurs actions anti-inflammatoires. Contrairement à certains anti-inflammatoires de synthèse, le curcuma n’inhibe pas la prostacycline, qui est un important facteur de prévention des thromboses vasculaires. Aussi, sa grande action antioxydante joue un rôle important dans son effet anti-inflammatoire.

DIGESTIF
Le curcuma améliore la digestion en stimulant le foie et la vésicule biliaire - l’excrétion de la bile en est augmentée de 100%. Il semble augmenter la production d’enzymes pancréatiques. Il est aussi
hépatoprotecteur (surtout grâce à ses effets antioxydants causés par l’augmentation hépatique de
glutathion et d’enzymes hépatiques - particulièrement le SGOT et SGPT - noms anglais - qu’il provoque), bactéricide et parasiticide.

ATHÉROSCLÉROSE
Tel que mentionné précédemment, le curcuma est antioxydant. Il prévient la peroxydation des lipides, dont le cholestérol. Et c’est justement ce cholestérol « peroxydé » qui se dépose dans la membrane des artères.
De plus, le curcuma réduit de façon significative le taux de cholestérol dans le sang en diminuant sa
réabsorption intestinale, en augmentant la transformation du cholestérol en acides biliaires et en
augmentant l’excrétion de la bile.

THROMBOPHLÉBITE
De par son action anti-inflammatoire et fluidifiante (diminue l’agrégation plaquettaire, aide donc à garder le sang fluide), le curcuma aide à prévenir et à soulager la thrombophlébite.

CANCER
Utilisé en traitement préventif et en curatif. Il fait régresser les cancers déjà existants (surtout oral, du
conduit digestif, du foie, des seins et de la peau), supprime l’effet mutagène de certaines substances (dont celles présentes dans le tabac) et inhibe la formation de nitrosamine. En plus, le curcuma prévient les changements génétiques qui peuvent survenir dans le noyau cellulaire (antimutagène). Tout comme le chardon marie, le curcuma est un puissant antioxydant. Il prévient la détérioration des tissus qui peut survenir lors des traitements de chimiothérapie.

BACTÉRICIDE, FONGICIDE ET PARASITICIDE
Le curcuma inhibe la croissance de nombreuses bactéries gram positives et gram négatives, dont celles qui causent la dysenterie amibique (Entamoeba hisolytic) et d’autres, comme le Clostridium perfringens, le Sarcina, le Gaffkya, les Staphylococcus, les Streptococcus, les Bacillus et plusieurs champignons pathogènes. Il aide également lors d’infections en inhibant la production de certaines toxines bactériennes qui peuvent causer de sérieux torts à l’organisme, dont les aflatoxines, produites par les champignons qui croissent dans la nourriture mal préservée.

VIH
Plusieurs études ont démontré que le curcuma ralentit la progression du VIH et semble augmenter le taux de CD 4 et de CD 8 dans le sang. Deux fonctionnements sont énoncés : 1. Le premier étant que la curcumine (une des substances actives dans le curcuma) inhibe la synthèse de l’enzyme intégrasse qui permet au virus de s’intégrer au code génétique de la cellule hôte. 2. Le deuxième est que la curcumine inhibe la production de cytokine par la cellule hôte. La cytokine stimule la formation du VIH dans les lymphocytes. De plus, comme les personnes infectées par le VIH ont un besoin accru en antioxydants, le curcuma peut répondre partiellement à ce besoin. Bref, l’utilisation de ce rhizome dans le traitement du VIH semble prometteur. Plusieurs études cliniques sont en cours actuellement et notre compréhension des mécanismes d’actions du curcuma se clarifieront dans les années à venir.

UTILISATION EXTERNE
Peut être utilisé sous forme d’huile infusée, d’emplâtres, de teinture…
irritation cutanée
plaie
entorse
foulure
douleurs arthritiques
psoriasis
mycoses : pied d’athlète, vaginite
pityriasis versicolor
galle
ulcères

NÉVRALGIES, SCIATIQUE…
Le curcuma a une action similaire à celle de la cayenne, relâchant la substance P, impliquée dans la
production du message de la douleur. Cette substance étant subséquemment épuisée, le message de la douleur s’en trouve inhibé.

EN CUISINE :
En Inde, on l’emploie libéralement dans le riz, les pommes de terre, les lentilles et les légumes, et il entre dans la composition de pratiquement tous les plats de curry ainsi que dans les chutneys.
À la Réunion, on s’en sert pour lier les sauces et corriger l’acidité de certains mets.

-Nasi kuning (riz jaune) : ce plat festif de l’Indonésie se prépare avec du riz à long grain, du lait de coco, du bouillon de poulet (que l’on peut remplacer par du bouillon de légumes), du curcuma, de la citronnelle, de la cannelle, du clou de girofle, des feuilles de pandanus (vendues dans les épiceries asiatiques), des feuilles de salam (une plante de la famille des myrtacées, qu’on peut remplacer par du laurier) et du rhizome de galanga (frais ou en conserve dans les épiceries asiatiques). Mettre tous les ingrédients dans une casserole ou un cuiseur pour le riz. Retirer les feuilles avant de servir. Le riz est généralement présenté sous la forme d’un gros cône entouré de légumes et de viande, poisson ou fruits de mer.

Il peut colorer diverses préparations, comme la pâte à crêpes ou à gaufres, ou encore, du chou-fleur, qu’on aura d’abord cuit quelques minutes à l’eau bouillante, puis fait revenir avec des oignons. Ajouter un peu d’eau, un piment fort haché, de la noix de coco râpée, du curcuma, saler, poivrer et cuire jusqu’à tendreté.
À la fin de la cuisson, arroser d’un filet de jus de citron.
Ou on en colorera les vinaigrettes et, pourquoi pas, les glaces ou les sorbets.

- Piccalilli : cette marinade créée par les Anglais lors de leur occupation de l’Inde comprend divers légumes (petits oignons, concombre, chou-fleur, haricots verts, tomates vertes) qui sont mis à macérer 24 heures avec du sel, puis égouttés. On les fait ensuite cuire avec du vinaigre, de la farine, du sucre (ou du miel) et du curcuma, puis on les met dans des pots de conserve.

On en mettra également dans les marinades de concombre, avec des feuilles et des graines d’aneth.
- Poulet à la marocaine : mélanger 1 c. à soupe de farine avec 1 c. à thé de cannelle, de cumin et de
curcuma. En enrober des morceaux de poulet que l’on fera ensuite revenir cinq minutes de chaque côté dans un peu d’huile. Diluer 1 c. à soupe de farine dans du bouillon, ajouter au poulet avec des dattes et des amandes, couvrir et cuire une dizaine de minutes ou jusqu’à ce que le poulet soit à point.

- Rendang indonésien : ce plat à base de fines tranches de boeuf se prépare en faisant mariner la viande 30 minutes dans une préparation composée de sauce soya, oignon, ail, gingembre, galanga, curcuma et eau. Passer tous les ingrédients au mélangeur. N’employer que la moitié de la sauce pour mariner la viande. L’autre moitié sera mélangée avec du lait de coco et de la citronnelle, puis chauffée à feu doux jusqu’à réduction de moitié. Puis, mélanger les deux préparations et cuire environ 50 minutes. Servir sur du riz.
On peut en assaisonner une soupe, une crème ou un velouté, par exemple une crème de courgette ou de courge. Pour lui donner un peu de consistance, y faire cuire du riz avant de passer la préparation au mélangeur, et pour lui donner une petite note acidulée, ajouter un filet de jus de citron à la fin de la cuisson.
- Pilaf : en ajouter au pilaf de boulghour, quinoa, amaranthe, riz sauvage, etc.

LA CULTURE :
La fleur : La floraison est souvent rose en forme de tulipe. Elles apparaissent l'été.
Plantation et multiplication : Le curcuma aime une terre riche en humus. Un bon terreau lui conviendra.
Il n'aime pas trop le soleil direct en plein été et surtout derrière une vitre.
Culture et entretien du curcuma :
L'arrosage sera copieux en plein été, il aime l'humidité lorsqu'il fait chaud.
L'hiver, on les enlève de la pleine terre et l'on hiverne les rhizomes au sec et au frais.
En pot, l'apport en eau devra être le plus faible possible durant cette saison.
Au printemps, on ajoute à l'eau d'arrosage un engrais pour plantes à fleurs ou on apporte en surface de la matière organique.


Quels sont les bienfaits des clous de girofle ?

En huile essentielle, le clou de girofle est depuis longtemps reconnu comme anti-inflammatoire et soulage donc les rhumatismes, les douleurs musculaires, …etc.
Les clous de girofle auraient également une propriété antiseptique et servaient d’anesthésiant local. Ils sont utilisés depuis des millénaires en Asie pour soulager les douleurs dentaires (dents de sagesse par exemple).
Les clous de girofle tirent tous leurs bienfaits de leur concentration en eugénol, un composé aromatique. Ses propriétés en font également un très bon allié dans la lutte contre certaines affections virales. Il lutte contre la toux.

Antibactériens, les clous de girofle sont utilisés contre les infections urinaires comme les cystites et les calculs rénaux et permettent également de lutter contre les maux d’estomac (ballonnement, aérophagie, gènes gastriques) et le zona. Ils empêcheraient les vomissements.
Réputé aphrodisiaque, le clou de girofle rejoint le gingembre et le safran au rang des aliments bénéfiques pour le couple ! On l’utilisait également comme tonique utérin en le prescrivant comme infusion aux femmes enceintes les mois précédents l’accouchement.

Comment utiliser les clous de girofle ?
On peut s’en servir pour soulager une dent douloureuse, en imbibant un peu d’huile essentielle sur un coton-tige. On peut également choisir de mastiquer quelques clous de girofle. Le fait de mâcher cette épice serait également susceptible d’améliorer l’haleine. Pensez-y après avoir mangé de l’ail !
On l’utilise depuis longtemps comme épice pour la cuisine. Il entre dans la composition du curry avec le curcuma. Il aromatise un pain d’épices, un pot-au-feu, du vin chaud, une soupe et parfois même une choucroute.

C’est en infusion que les bienfaits des clous de girofle s’exprime le mieux contre les troubles digestifs. Disposez entre 3 et 8 clous de girofle (cette épice à un goût très parfumé et corsé) dans une tasse. Faites bouillir de l’eau et versez sur les clous. Laissez infuser 10 minutes. Filtrez avec une passoire et ajoutez une cuillère de miel liquide ou une pincée de cannelle pour sucrer la préparation. Buvez 3 fois par jour entre les repas. En plus de faciliter votre digestion, cette infusion vous aidera à prévenir et lutter contre la grippe et autres maladies infectieuses. Bien utile pour l’hiver qui arrive à grands pas !

En usage externe, ils étaient employés pour désinfecter et favoriser la cicatrisation des plaies.
On l’utilise fréquemment comme parfum d’ambiance. Pour cela, il suffit de piquer des clous de girofle sur toute la surface d’une orange. Ce parfum est alors appelé « pomme d’ambre » et en plus, il chasse les insectes.

Ses vertus médicinales et son pouvoir aromatique puissant font du clou de girofle un allié apprécié de toutes les cuisines. Dites adieu aux bobos du quotidien !


Le Persil

Le persil est une plante des climats tempérés très facile à cultiver dans les jardins potagers ou même dans des jardinières en appartement. Il faut savoir qu’il existe 2 variétés principales se distinguant par l’aspect des feuilles : 
Le petroselinum tuberosum dont les racines sont utilisées pour aromatiser les mets ;
Le petroselinum crispum qui offre très souvent des feuilles pour la décoration des assiettes.
*Un précieux allié de cuisine riche en vitamines :
-Plante aromatique, le persil est couramment utilisé dans beaucoup de préparations en cuisine.
-En raison de leur saveur, les feuilles de persil alimentaires peuvent stimuler l’appétit et favorise la digestion gastrique.

-Il constitue un additif culinaire utile du fait de sa forte teneur en vitamines ( le persil est très riche en vitamine C ; il contient d’ailleurs plus de vit C que le citron ou l’orange, il possède également d’abondante quantité de Vit B, provitamine A (carotène), vit B, vit E, vit K, ainsi que de nombreux sels minéraux tels que le magnésium, le phosphore, le fer, le manganèse, le sodium, soufre et calcium.
Ses vertus sur la santé ne sont pas à prouver, surtout qu’il est ajouté cru à l’alimentation.

*Le persil, plante médicinale : 
Son utilisation en tant que plante médicinale est très ancienne du fait qu’il contient de nombreuses substances (Huiles essentielles) utilisées en médecine homéopathique (thérapeutique) et naturelle.
-Son action sur le système gastro-intestinal fait du persil une plante médicinale de premier choix pour soulager les ballonnements et les digestions paresseuses, les coliques, les indigestions ou bien encore la constipation.

-en hygiène bucco-dentaire, mâcher un brin de persil fait disparaître la mauvaise haleine rapidement.
-Utilisé comme fortifiant, le persil permet de bien démarrer sa journée, de luter contre la fatigue passagère, il se consomme alors mixé dans un verre d’eau à boire le matin à jeun.

-Diurétique, antiseptique, anti-infectieux, antirachitique, le persil est souvent utilisé pour soigner diverses petites pathologies du quotidien, notamment la cicatrisation des plaies, faire monter le des mères, il aide à abaisser la tension artérielle élevée et a des propriétés antiémétiques  Le persil est aussi utilisé pour soigner les troubles menstruels des femmes. C’est un stimule la fécondité et est un excellent neutralisant des effets négatifs induits par le tabagisme et la dépendance à l’égard de l’alcool.

-Le persil est employé depuis longtemps dans le traitement des maladies respiratoires chroniques ou infectieuses comme l’asthme, la dyspnée..
-Ses effets sur l’appareil rénal sont aussi nombreux : action sur les calculs rénaux, les coliques néphrétiques ou les infections urinaires récidivantes.

*Des vertus cosmétiques et aphrodisiaques :
- persil trouve, aussi, sa place dans les salles de bains. En décoction, le persil tonifie les cheveux, favorise repousse et éclat, l’infusion de persil s’utilise aussi en cosmétique pour éclairer et purifier le teint.

-Le persil est une tisane de plaisir, parfaite pour stimuler le désir sexuel. Il favorise également la production d’hormones et vous permet d’être plus résistant et plus vigoureux. Il est important de garder à l’esprit que les graines de persil ont un effet aphrodisiaque par la stimulation des glandes sexuelles.

Le persil est donc une plante qui a toute sa place chez vous.
N’hésitez pas de le figurer chaque jour dans votre assiette. C’est un aromate à posséder impérativement dans sa cuisine et dans sa pharmacie.


L'avocat : Le fruit magique contre le vieillissement cellulaire

Vous entendez beaucoup parler des « radicaux libres », ces molécules agressives qui attaquent vos cellules, et même votre ADN. Ils accélèrent le vieillissement et contribuent à déclencher de nombreuses maladies liées à l'âge, comme l'athérosclérose, les problèmes de vue, les démences, et le cancer.

D'où viennent les radicaux libres ? De la pollution, des produits chimiques, de la cigarette, mais également du fonctionnement normal de vos cellules.

Pour fonctionner, vos cellules ont besoin de brûler un combustible (le glucose), dans de petites usines électriques appelées mitochondries. C'est cela qui leur fournit de l'énergie pour, par exemple, se contracter dans le cas des cellules musculaires, ou émettre des signaux électriques pour communiquer, dans le cas des cellules nerveuses.

Vos cellules fument
Tout comme un moteur émet toujours un peu de fumée, même s'il est bien réglé, vos cellules « fument » et émettent des radicaux libres lorsqu'elles travaillent, même si vous vivez sainement.

Plus vous faites de sport, plus vous utilisez votre cerveau, plus vous éprouvez d'émotions, bref, plus vous vivez intensément, plus vous fabriquez de radicaux libres.

Et il n'existe qu'un seul moyen, dans l'état actuel des connaissances, d'éliminer les radicaux libres : les antioxydants, des substances qui sont naturellement présentes dans votre corps et dans les fruits et légumes frais, surtout colorés.

Le problème est que vos cellules n'absorbent pas facilement les antioxydants que vous mangez. La plupart restent à l'extérieur de vos cellules et sont éliminés de votre organisme sans avoir détruit le moindre radical libre.

Comment faire pour aider les antioxydants que vous manger à pénétrer dans vos cellules ?

Les prodigieux effets des graisses
Il existe un moyen simple d'augmenter considérablement votre taux d'absorption des antioxydants : manger vos fruits et légumes avec un corps gras. Pas nécessairement du beurre ou de la charcuterie : de nombreux aliments contiennent de bonnes graisses et vous pouvez facilement les manger avec vos fruits ou ajouter à vos plats de légumes : il s'agit des fruits à coque (noix, amandes, noisettes...), de l'avocat (ou l'huile d'avocat), des olives, ainsi que toutes les graines (courge, graines de lin broyées, graines de tournesol).

Dans une étude réalisée avec de l'avocat, les chercheurs ont constaté qu'en consommer en même temps que des crudités dans une salade multiplie :

le taux d'absorption du lycopène par 4 (le lycopène est un antioxydant que l'on trouve dans les tomates) ;

le taux de bêta-carotène par 2,6 (le bêta-carotène est un précurseur de la vitamine A que l'on trouve en abondance dans les carottes et dans une moindre mesure dans les légumes verts à feuille).
L'avocat est très riche en acides gras, mais ce sont de bons acides gras, nécessaires à votre santé.

Lorsque c'est de l'huile d'avocat qui a été ajoutée aux crudités, ils ont constaté une multiplication :
du taux d'alpha-carotène par 7,2 ;
du taux de bêta-carotène par 15,3 ;
du taux de lutéine par 5,1 (la lutéine est un antioxydant rouge-orangé que l'on trouve dans le jaune d'œuf, le maïs, les carottes, les épinard et l'oseille, et qui protège en particulier la rétine).

Un avocat au petit-déjeuner
Les avocats sont aussi une puissante source d'acides gras mono-insaturés qui contribuent à :
contrôler la glycémie (sucre sanguin) ; entretenir la paroi des artères ; réduire l'hypertension artérielle.


J'aime manger un bon avocat au petit-déjeuner. Assaisonné d'un jus de citron et d'un filet d'huile d'olive, avec un œuf à la coque cuit à basse température (eau à 80 °C, pour qu'ils devienne crémeux et non caoutchouteux), une tranche de jambon de pays ou un filet de maquereau, une tasse de thé (sans sucre et sans lait), quelques amandes, noix de Grenoble et une salade de fruits rouges et noirs, cela fait un petit-déjeuner consistant qui me permet de me sentir bien et plein d'énergie toute la journée, en faisant des repas modérés le midi et le soir.

Si vous n'avez pas gros appétit ou si vous faites peu d'activité physique, vous pouvez bien sûr vous contenter d'un demi-avocat le matin, c'est déjà très nourrissant.

Truc pour que vos avocats soient toujours bons
Lorsque vous achetez des avocats dans le commerce, ils sont en général durs comme du bois. Bien sûr, vous parvenez à les faire ramollir en les laissant trainer dans votre corbeille à légumes. Mais la cruelle réalité est qu'alors, bien souvent, d'affreuses tâches noires auront colonisé la tendre chair de l'avocat le jour où vous l'ouvrez. Des fils noirs et filandreux se seront formés à l'intérieur, et ce qui reste de chair sera aqueux et insipide. Rien à voir, donc, avec la texture d'un beau vert amande, onctueuse et fondante, de l'avocat mûr à point qui en fait une des plus grandes merveilles de la Création.

Pour éviter cette déception, il existe un truc simple : emballez vos avocats dans du papier journal dès votre retour du supermarché, et mettez les dans un tiroir ou une armoire bien obscure. Attendez deux ou trois jours et vous aurez le plaisir de manger des avocats comme si vous les aviez cueillis sur l'arbre au bon moment.

Cela paraît tout simple mais il y a une difficulté majeure : ne pas oublier vos avocats. Une fois qu'ils sont bien cachés au fond d'un placard, le risque est de ne remettre la main dessus que... 6 mois plus tard, et croyez-moi, ils ne seront plus bons à manger.

Autres avantages des avocats
A noter que les avocats sont pleins de vitamines très importantes :

la vitamine K est importante pour la coagulation du sang. Elle contribue aussi à la solidité de vos os ;

Les folates, ou vitamine B9, sont importantes pour une bonne reproduction cellulaire et le développement de vos tissus ;

La vitamine E protège les tissus contre les radicaux libres et peut protéger le cœur ;

La lutéine est nécessaire pour protéger les yeux et la peau ;

La vitamine C renforce le système immunitaire et neutralise les radicaux libres ;

La vitamine B6 renforce elle aussi le système immunitaire, aide aux fonctions nerveuses et à la synthèse des globules rouges.